Cultiver la marijuana a l’interieur

Cultiver la marijuana bio à l’interieur

Le cultivateur s’accorde à l’équilibre de la nature pour soigner ses plantes. Il prend en charge : lumière, nourriture , de l’eau, aération et surtout un endroit sûr et tranquille. L’espace doit avoir ± 2m. de hauteur, les greniers sont bien, sauf qu’ils peuvent être trop chauds en été, ce qui ne permet pas d’utiliser les lampes pendant la journée. La cave est plus facile à gérer question de température, le désavantage est que les caves sont des fois trop humides.
Une bonne mise à terre et une capacité suffisante d’électricité est essentielle (sécurité).
Les cultivateurs d’extérieurs connaissent déjà certaines choses sur les engrais biologiques. Comme dans la culture extérieur, seul les plantes dans de la bonne terre et de l’engrais biologique donne de bons résultats. Imaginez une serre, à moitié des tomates sur hydro et l’autre moitié des tomates dans de la terre avec de l’engrais bio. La différence de goût se sent avec les yeux fermer. En plus la culture dans la terre est simple et bon marchée. L’engrais chimique est très mauvais pour le goût et pour le milieu. L’utilisation des fibres de pierre dans la construction va être interdite en Allemagne à cause qu’ils sont cancérigènes.
Mettez un matériel imperméable parterre, (beaucoup de cultivateur on un problème d’eau). Peindre les murs en blanc ou les couvrir avec du plastic noir ou blanc, (le plastic est résistant au ondes U.V. des lampes). Faites en sorte que la lumière du jour ne peut plus pénétrer pour éviter les problèmes. Peindre les fentes des portes et des fenêtres en noir.
Faire en sorte que la ventilation est suffisante et que l’air peut se renouveler. Vérifiez que l’entrée d’air est assez importante pour ne pas surcharger l’aspirateur d’air. En utilisant un thermomètre et une horloge on peut installer une ventilation régulière. Quand les lampes fonctionnent, la température dans l’espace culture augmente et déclenchent le thermostat. Plusieurs fois par heure l’air chaud est évacué. Utilisez des ventilateurs pour garder l’air en mouvement. Si c’est possible souffler de l’air chaud sur le dessus des plantes, (elles aiment les racines bien chaudes). Ne pas dépasser la température de 25°C, l’idéal est entre 20°C et 25°C. Attention la nuit! Pas moins que 18°C pour que les racines gardent leur température ( si nécessaire installez un chauffage avec un thermostat).
Espace culture
Ce que vous avez encore besoin?
Hygromètre
Thermomètre
Rouleau de Plastic pour imperméabiliser
U.V.
Terreau
Les Pots
Engrais
Ventilateur tournant
Interrupteur à minuterie
Vaporisateur d’eau et tasse à mesures
Arrosoir
Bocal à mesure
Relais

Eclairage
Le mieux c’est des lampes « haute pression Natrium », elles sont comme les néons avec un starter, un trafo et un condensateur. Le néon a en général de 36 watt, la haute pression Natrium peut varier de 250 watt jusqu’à 1000 watt.
Dans le jardinage, les lampes à haute pression unissent le pré-interrupteur , le réflecteur et la lampe dans une unité. En 1985 on a développé, spécialement pour la culture de la marijuana bio, un système qui évite que la chaleur rayonne par le pré-interrupteur, trafo, et condensateur, en les placent en dehors de l’espace culture. Ainsi au dessus des plantes il n’y a que le réflecteur et la lampe, ce qui est moins encombrant, surtout qu’on doit régulièrement ajuster la hauteur du réflecteur. Les lampes haute pression Natrium donnent une lumière jaunâtre et forte. Exactement ce que les plantes aiment. On connaît les lampes de basse pression Natrium (les éclairages des rues). Mais ces lampes donnent uniquement une lumière jaune et ne sont pas efficaces. Les lampes au mercure donnent de la lumière blanche et une culture plus compacte qu’avec des lampes au Natrium, de l’autre côté elles sont un peu moins efficaces et donnent moins de lumière avec plus de consommation d’électricité. C’est pour ça qu’on les utilise quasiment plus.
Les armatures des néons sont utilisables pour enraciner les clones, même pour faire pousser des plantes, si on est pas trop exigeant. Ils ne donnent pas assez de lumière pour une bonne floraison et la lumière est seulement efficace à une distance de 30 cm. maximum. Les armatures ne sont pas chères et on peut les trouver en occasion. Si vous achetez des nouvelles lampes, utilisez la couleur 33, elle donne plus de lumière et c’est la couleur la plus efficace pour la culture intérieur. Remplacez les lampes au moins une fois par année, (2 à 3 moissons). Une vieille lampe donne ± la moitié de la lumière sans qu’on le voit à l’œil nu.
Une lampe de 400 watt suffit pour 1 m² et donne 40.000 lumen (15 à 30 plantes ± 300 à 500 gr.). Une lampe de 600 watt sur la même surface peut donner ± 150 gr. en plus, elle donne 80.000 lumen, assez pour 1,2 m² (20 à 40 plantes). Une lampe de 1.000 watt donne 130.000 lumen, 1,6 m². (25 à 60 plantes). Il est plus économique d’utiliser deux lampes de 600 watt.
Les plantes jeunes supportent moins bien la lumière que les plantes qui fleurissent. Suspendre le réflecteur à une hauteur de max. 1m. et min. 60 cm. au dessus des plantes, si non les plantes sortent trop vites en hauteur sans faire de racines. Un « truc » pour bien évaluer l’hauteur, si l’ombre est très net, la lampe est trop près.

Mélange de terre et irrigation
Comme avec la culture extérieur, les meilleurs résultats sont obtenus en utilisant des engrais biologiques. Les terreaux ne contiennent pas assez d’engrais, voilà ce qu’on va faire.
Une bonne recette pour mixer la terre:
4 parts de terre noire
1 part de tourbe
1 part de Vermiculiet
1 part de Perlite
Le mieux c’est de mélanger les engrais d’avance dans un récipient, ils vont fermenter, même chauffer. Ceci est très utile (la production des bactéries est nécessaire). Une fois les mesures établies il est intéressant d’utiliser le même récipient, comme ça le mixe est toujours uniforme. Il existe un mixe près à l’usage.
Vu que vous n’utilisez pas des toxines ou d’engrais chimique on peut jeter la terre usée dans le jardin, on peut la réutiliser en remettant de l’engrais. Il n’est pas vrai qu’en utilisant de la terre usée on attrape des petites bêtes, chaque cultivateur sait que tôt ou tard on aura à faire avec des parasites. (plus d’information plus loin).
Phosphore, un engrais important pour la floraison est seulement efficace si le tenant d’acide P.H. n’est pas plus bas que 7,5 faites bien attention à ça. La même chose pour l’eau qu’on utilise en générale, le P.H. est trop haut, ajouter un peu de vinaigre ou de l’eau distillé pour le baisser. Il y a des « mesureurs de P.H. électronique » en vente pour un prix raisonnable.
Pour stimuler la croissance on pourrait utiliser une « émulsion à poisson » (connue dans la culture d’extérieur) Mais l’odeur peut être un problème. Pour une croissance explosive on peut fabriquer nous même une « bio floraison » liquide en mélangent des engrais comme phosphate et poudre d’os avec de l’eau. Ci le P.H. est neutre, on peut l’utiliser quasi illimitée.
Ne donnez pas chaque jour de l’eau à vos plantes, mais faites comme la nature, donnez beaucoup puis laissez sécher la terre avant de redonner. Contrôlez tous les jours l’humidité. Une bonne idée est un tonneau d’eau dans l’espace culture, comme ça l’eau est chambrée ( ± 25°C). Utilisez un thermostat d’aquarium et quand on installe une pompe à circulation, on peut ajouter de l’oxygène et du Co2, ce qui fait évaporer le chlore. Il est très pratique de surélever le tonneau d’eau.

plantes de marijuana biologiques
plantes de marijuana biologiques

Semer
Graines : 4 x l’ampleur de la plantation.
La qualité de la marijuana bio varie beaucoup. On prend 4 fois plus de graines quand on veut cultiver les plantes femelles. L’art de la culture de la marijuana bio consiste à bien savoir sélectionner. On à 50 % de chance d’avoir des plantes femelles. Chaque plante qui n’est pas 100% en forme doit être enlevée. par ailleurs, il y a des graines garanties « femelles » en vente, un peu chère mais on est sûre de ne pas avoir des plantes « mâles »
La sélection commence, prenez uniquement des belles graines. Mettez les dans un verre d’eau (changer l’eau tous les jours). La température idéale est de 15 à 20°C. On peut aussi pré-germer dans de la ouate ou dans un tissu . Le tout bien mouillé, dispersez les graines dedans, mettez sur une assiette, couvrir avec de l’alu faite quelques petits trous pour l’oxygène.
Laissez reposer quelques jours, on contrôle l’humidité régulièrement. Quand la petite racine blanche à 3 à 5 cm., on les met dans la terre ou dans les fibres de pierres à la profondeur d’un cm. Quand on a un bon mixe ce n’est pas nécessaire de pré-germer, on peut mettre les graines directement dans la terre ce qui est la meilleur façon. Le mixe prêt à l’usage est en vente chez Bazaar.

Comment faire des clones et garder les plantes mères
La meilleur façon de garder les clones et les plantes mères est de bien les positionner.
Faites une table imperméable avec du plastique et du linoléum. Sur cette table on positionne les plantes mères et on fait pré-pousser les pousses en dessous des lampes (18 heures de lumière par jour), jusqu’à ce qu’elles sont assez grandes pour les mettre dans l’espace culture pour la floraison. Les plantes mères sont dans des pots remplis d’un mixe standard. Mettez dans chaque pot un clone.
Taillez la plante mère pour la première fois quand elle atteint 20 cm. de hauteur, il faut couper à l’endroit ou les nouvelles tiges poussent. En faisant ça régulièrement, on obtient un genre de « Bonzaï » avec beaucoup de petites tiges. Ces tiges deviendront des nouvelles pousses qu’on doit tailler à leur tour. En utilisant des néons les mères pousseront moins vites qu’avec les lampes haute pression Natrium (400 watt). Une table comme ça doit être remplacée tous les 3 à 5 mois.
Si vous gardez les plantes mères dans l ‘espace culture, le mieux c’est de faire un espace séparé pour installer la couveuse dans laquelle on fait pré-raciner les clones; il faut les éclairer en continu avec 2 tubes néons imperméables couleur à 33°C . Faites en sorte que cet endroit est bien ventilé. Mettez sur le fond une couche de frigo lite et couvrez avec du plastique, puis une couche de 5 cm. de terre, installez un câble de chauffage dans le sable (en zigzag), rajoutez encore 5 cm. de sable et couvrez le tout avec du tissu, ce qui sert à garder l’humidité bien égale. Bien humidifier le tout pour une bonne distribution de la chaleur. Branchez le câble à un thermostat qui garde la température constamment à 25°C.
Dans le jardinage on utilise des récipients en frigo lite pour démarrer les plantes. Mettez un peu de terreau et un peu de perlite, bien mélanger. Mettez dans ce mélange des petits pots en tourbe avec un diamètre de 4 cm. Remplissez ces « Jiffys » avec du terreau bien tassé, mouillez le tout bien abondamment. Faire des petits trous dans les pots.
On utilise un ciseau ou un couteau bien aiguisé pour couper la tige, 3 cm. en dessous des ramifications.
Plongez la tige dans de l’eau et puis dans le mixe et après on la plante prudemment dans le petit pot, légèrement tasser. Le perlite et le terreau vont descendre par les trous dans le récipient et rentrer ainsi en contacte avec le lit de sable mouillé. Redonnez de l’eau après 2 semaines si c’est nécessaire. Après 3 semaines, les clones ont leurs racines et on peut sélectionner les plus beaux spécimens.

Ammener les plantes a floraison
On peut faire pousser la marijuana bio, si on donne au minimum 18 heures de lumière par jour. Le cycle est de : 1 à 4 semaines grandir, jusqu’à ce que les plantes atteignent 30 à 40 cm. de hauteur. Après ça, elles seront prêtes à moissonner dans les ± 8 semaines. La moyenne est de 4 fois par année et par m². Mais si on fait grandir les plantes dans un autre espace (avec les plantes mères par exemple) on peut alors utiliser les grosses lampes d’une façon permanente et moissonner 6 fois par année et par m².
En moyenne la récolte par m² est de 400 gr. Mais la première année cela peut être que la moitié. Les cultivateurs « spécialistes » peuvent arriver à 800 gr. grâces aux justes méthodes. Le nombre de grammes qu’on récolte par m² est une indication, ceci nous dit si on le fait bien ou pas.
Il est bien de définir d’avance la quantité qu’on veut obtenir par année (penser aux amis), tenir compte des frais d’électricité, l’engrais, les lampes. Vous verrez qu’avec un bon planning on aura besoin de moins d’espace qu’on pense.
Pour donner des racines bien chaudes aux plantes et pour éviter qu’on doit toujours se baisser, on peut cultiver les plantes sur une table faite de « bétonplex » couvert d’un plastique et d’un linoléum. Il faut faire un bord de 25 à 30 cm. de hauteur pour bien tenir les pots en places.
Pour un contrôle optimal on peut cultiver dans des pots de 7 litres 15 x 15 x 20 cm. Cela donne plus de travail puisqu’on doit donner de l’eau à chaque pot séparément. Des bacs de balcon sont plus pratiques sur ce point, mais on aura plus de mal à stimuler les plantes qui restent un peu en arrière séparément.
Le plus simple est dans de la terre pleine. On met un tube en P.V.C. plein de trous qui aèrent les racines au fond du bac. Puis une couche de « hydro-granulés » ou perlite (le tube doit être recouvert). Après on met 25 cm. de mixe de terreau. Plantez à peu près 15 à 30 plantes par m_, bien donner de l’eau. L’avantage du.
système « pleine terre » est ça simplicité. Il est plus facile d’irriguer et les plantes ont beaucoup d’espace. Le seul désavantage est que les plantes qui restent un peu en arrière seront plus difficile à remplacer par des plantes plus viriles.
À la floraison les plantes utilisent toute la nutrition pour ses fleurs et les feuilles seront délaissées, surtout les « skunk ». Elles développent un genre de poils gris ce qui est normal. Il faut enlever les feuilles jaunis et les tiges basses.

Parasites
Le plus grand danger dans la culture d’intérieur est la mite Aubier. Elle vit sur les feuilles et provoque des petites taches blanches sur les feuilles. Les mites vivent en dessous des feuilles et elles sont tellement petites qu’on ne peut pas les voir à l’œil nu. À température élevée l’Aubier se multiplie énormément et vite elle finit par couvrir la plante avec leurs filets.
L’Aubier: peut être éliminée par la mite Croûte « Phytosylius Persimilis ».
La Trips: peut être éliminée par une autre sorte de mite Croûte  » Amblyseus Cucemeris ».
La mouche blanche: est mangée par la guêpe « Encarçia formosa ».
La mouche à fruit: s’attaque aux racines (les larves), une sorte spécifique de nématode peut les éliminer.
Ceux-ci sont des insectes très petits: la mouche à fruit et la mouche blanche: 1,5 mm. la trips: 1mm. et l’Aubier: 0,5mm.
On peut commander les œufs d’insectes en Belgique, en Hollande et en Allemagne, c’est distribué par la poste, le paiement ce fait via une carte de commande qu ‘on peut acheter chez Bazaar. On ne peut pas garder les œufs longtemps. Il est conseillé de les mettre tout de suite dans les plantes.
Un insecticide fait maison.
Facile à fabriquer, écologique, mettez quelques gouttes de produit à vaisselle et quelques gouttes d’alcool éthyliques dans de l’eau. Trempez brièvement les plantes dedans, ou giclez avec un vaporisateur. Ceci tue les bêtes, pas les œufs donc il faut répéter régulièrement.
Il existe un spray prêt à l’emploi.
L’usage des poisons chimiques est plus coûteux et problématiques. Ils diminuent la qualité, donc la valeur de votre produit, en plus le fumeur peut être agresser par ces produits.

Faire du hash
La récolte est une question de temps, pendant qu’on arrache les fleurs, beaucoup de résine est libérée, d’habitude c’est perdue sauf quand on utilise un filtre à hash . un filtre à hash est pareil que les filtres qu’on utilise dans la sérigraphie. On le place sur la table de nettoyage ainsi les particules de résine traversent le filtre et les feuilles sont retenues.
Nettoyer les fleurs, cultiver à l’intérieur ce fait plus vite à la main puisque les fleurs sont plus compactes. Vous remarquerez que vos mains seront couverts d’une substance collante (c’est ce qu’on appelle « hand rub) et quand on rassemble cette substance vous aurez le meilleur hash que vous n’avez jamais fumé et vous comprendrez comment le hash Népalais et Afghan est fait. Tout simplement en frottant les fleurs avec la main et en pressant dans la main. C’est pour cette raison que l’Afghan et le Népalais est noir de couleur avec des résidus de feuilles minuscules. (hmmmm.)
Quand le nettoyage de fleurs est fini, vous soulevez le filtre, vous verrez qu’il s’est formé une couche de poudre. Cette poudre, une fois pressée ont l’appelle qualité « A ». Elle se laisse facilement presser dans la main, on sèche les particules des feuilles qui restent, on les met sur le filtre puis on tape doucement sur le filtre. La poudre ainsi obtenue on l’appelle qualité « B ».
Quand on fracasse et filtre les grandes feuilles on obtient la qualité « C ». La qualité C est verte, sèche et ne se laisse pas facilement presser. On récolte 2 à 3 fois plus de qualité C que de A et de B. Dans les pays comme le Maroc , le Liban etc. on établit le prix par rapport à la quantité de qualité C présente dans le hash. A cause que la qualité C ne colle pas bien, on rajoute des huiles pour faciliter la presse. Les étrangers qui discutent trop sur le prix ce font vendre un mélange avec encore plus de poudre C. Il est plus intelligent de ne pas fumer les feuilles, mieux vaut faire un cake ou du beurre à l’herbe.
La qualité A et B se laisse facilement presser. Il suffit de rouler et presser dans la main. Mais on obtient un meilleur résultat quand on procède de la manière Turque. Il existe un cellophane naturel qu’on utilisait dans le temps pour couvrir des fruits et d’autres nourritures, parce que ce cellophane laisse passer l’air et l’humidité. On peut le reconnaître en mouillant un coin, si le coin se courbe c’est OK. Une autre particularité est qu’on peut le coller avec un peu d’eau. Pliez des petits sachets de 15 x 7,5 cm., collez avec de l’eau, remplissez les sachets puis fermez. Ils devront avoir l’air de (pain à la saucisse). On les emballe bien serrés dans plusieurs feuilles de papier journal. Puis on les cuit dans une poêle jusqu’à ce que le papier journal devient noir. Sortir de la poêle et presser à l’aide d’une bouteille (roulez dessus) , on peut se mettre dessus avec les pieds et doucement sautiller, et bien sur il y a la presse hydraulique. Bonne fumette!

Faire du beurre à l’herbe
Les grandes feuilles sont intéressantes pour faire du beurre. Quand on a pas envie de faire du hash on peut bien sur ajouter des bouts de fleurs et les petites feuilles, c’est votre choix.
L’ingrédient principal qui fait planer est le T.H.C. qui ne se dissout pas dans l’eau mais s’attache a la graisse animal, c’est là l’astuce. Prenez du bon beurre de vache (4 x le poids des feuilles qu’on va bouillir). Nettoyez les feuilles à l’eau puis faites bouillir pendant une heure, ajoutez le beurre et laissez une heure sur petit feu.
Filtrez cette soupe et récupérez le liquide dans une petite casserole, passez le filtre sous l’eau chaude et récupérez toute la graisse. Mettez la soupe dans le frigo et après un petit moment la chose se durcit, on transfère dans un petit récipient avec un couvercle, comme ça on peut le garder des mois dans le frigo.
Une manière simple et rapide pour faire du beurre à l’herbe: prenez ± 3 gr. de grandes feuilles fracassées, filtrez finement, fondre le vrai beurre au bain marie et rajoutez les feuilles filtrées.
On peut utiliser le beurre à l’herbe pour tartiner et aussi pour faire un cake. N’oubliez pas les gens sont des fois gourmands, pour cette raison il est conseillé d’utiliser que 3 gr. de beurre par dose et par personne. L’avantage du beurre à l’herbe est qu’on peut bien le garder et doser. On consomme que le T.H.C. et pas les autres éléments de la marijuana bio.
Quand on fume un joint, l’effet est immédiat, quand on mange le T.H.C. l’effet ce fait sentir seulement après ± une heure et quand l’effet s’annonce on ne peut plus le freiner ou l’amoindrir. Pour cette raison quand on mange des cakes il faut être prudent avec les gens qui ont peu d’expérience avec le T.H.C. Commencez avec une dose (cake) et puis attendre et voir venir. L’effet du cake peut durer quelques heures et peut être des fois spectaculaire mais jamais dangereux. Jamais quelqu’un n’est mort par overdose de marijuana. Pour en mourir il faudrait manger un et demi cubique mètre d’herbe. Au cas ou quelqu’un aurait mangé un peu trop de cake, le mieux serait de bien l’installer et de lui dire que l’effet passera après quelques heures. Le pire qu’il peut lui arriver est de vomir et un léger malaise qui va en diminuant. On peut s’endormir, pas besoin de paniquer.
Les gens sous estiment l’efficacité de manger de la marijuana bio. En fumant un joint, 80 à 90 % est perdue en aspirant la fumée. En mangeant par contre, le tout est absorbé par le corps et ça fonctionne. Il arrive que les gens croient que ça ne marche pas avec eu et ils prennent encore un cake (surtout les débutants). Il arrive que les premiers joints et cakes donnent quasiment pas d’effet, la raison est : la marijuana bio stimule le corps à produire les éléments qui font planer et des fois ça prend un peu de temps avant que le corps s’adapte et reconnaît les stimuli. Mais une fois que ça marche ça marche ! c’est pour ça qu’un fumeur expérimenté a besoin de moins pour bien planer. Planer (être high) est une situation très naturelle, les sportifs de haut nivau connaissent bien cet effet. On dit que le jogging et la course à pied est une accoutumance.

Le chanvre et ses possibilités.
La raison que la plante et ses dérivées sont maintenus illégales est que les gens au pouvoir on des monopoles et utilisent des autres matières, et le pouvoir exploite les gens et les empêche d’utiliser leurs autres possibilités.
Pour le papier moderne, des forêts entières sont abattues, en plus le processus avec les acides est très polluant et le papier contient trop d’acide et se décompose déjà après 50 à 70 ans. Utiliser le chanvre pour fabriquer du papier est très écologique, pas besoin d’engrais ni d’insecticides, il y a des manuscrits faits avec du papier à chanvre qui ont plusieurs milliers d’années. Le chanvre peut être transformé en un plastique qui est biodégradable, des plaques de construction et même des poutres.
On peut remplacer le nylon utilisé pour les filets de pêche et les câbles par les fibres de chanvre, aussi pour la production de tissus sans pollution, ce qui n’est pas le cas avec le coton. Pensez aux catastrophes. Au lac Aral, dans le temps la plus vaste mer intérieure remplie avec de l’eau douce et propre! A l’heure qu’il est, elle est pratiquement asséchée et les rives sont empoisonnées sur des centaines m_.
Pour cultiver le grain on a besoin d’engrais, d’insecticides. On doit le moudre, utilisez beaucoup d’eau potable et du feu (énergie). Le chanvre par contre contient 25 % de protéines et il est très digeste (plus que le soja). Les biscuits au chanvre peuvent être gardés très longtemps et ils sont d’une haute valeur nutritive. Un sachet de graine de chanvre contient assez de protéines pour nourrir un être humain pendant une semaine. Les protéines très complètes donnent la combinaison des aminoacides qui stimulent le système immunitaire.
Le chanvre contient 30 à 35 % d’huile, dans le temps c’était utilisée pour produire de la peinture, du savon et du vernis. Aujourd’hui on utilise des produits de la pétrochimie qui sont très nuisibles pour l’homme et le milieu. L’huile de chanvre donne une lumière claire et une combustion propre, elle est utilisée depuis le moyen-age pour éclairer et le soin de la peau.
La marijuana bio est un excellent remède pour le « glaucoma », responsable pour 50 % des cas de mal voyance et est 2 à 3 fois plus efficace pour abaisser la pression dans l’œil que les médicaments chimiques qui sont plus nuisibles pour les reins et peuvent même détacher l’iris.
Aussi comme médication contre la multiple sclérose, une maladie qui diminue le contrôle de la fonction musculaire et qui finit par être mortelle. Avec la marijuana bio, le M.S. patient peut regagner un peu de contrôle musculaire et par exemple boire un verre d’eau sans aide. Pour finir ce sera les patients et les malades qui feront en sorte que la marijuana bio puisse être légalisé.

Laboratoire Biologiquement

Un avis consommateur, ou avis client, désigne un élément d’appréciations et commentaires donnés par les acheteurs sur un produit ou un service, que ce soit sur un critère particulier ou la globalité de l’offre. Ces opinions reflètent le niveau de satisfaction de la clientèle.

Vous pouvez consulter les avis clients du site du laboratoire Biologiquement en suivant ce lien : avis biologiquement.shop

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