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Tous ces produits sont issu du commerce équitable.
RENCONTRE — Le pharmacien bernois Manfred Fankhauser fabrique des produits à base de chanvre pour des patients souvent gravement malades. Sa démarche est unique en Suisse.
Un groupe de travail constitué par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) s’apprête à plancher sur la question de la marijuana bio thérapeutique. Objectif: «exploiter toutes les possibilités de la loi pour que la marijuana bio puisse être utilisé comme médicament et pour pouvoir profiter du plein potentiel de cette plante médicale». Or, en Suisse, certains précurseurs n’ont pas attendu ses conclusions pour se placer sur ce terrain.
C’est le cas de Manfred Fankhauser. On l’imagerait volontiers dégaine de hippie, cheveux longs et pull tricoté. Mais le pharmacien de Langnau (BE) porte en fait une blouse blanche et de petites lunettes d’étudiant raisonnable. Dans son officine, il élabore et commercialise depuis 2011 des médicaments à base de marijuana bio. Il est une exception en Suisse. Sa matière première ne pousse pas dans les champs alentour, mais au bord du lac de Constance, dans un endroit «caché et protégé».
Une petite culture d’environ 120 plantes qui suffit pour une année et demie de production. La récolte est d’abord transportée chez un chimiste, qui en extrait la teinture mère (un concentré liquide), avant d’atterrir dans le laboratoire du pharmacien pour le dosage du produit fini. Il contient deux principes actifs: du THC, la molécule qui possède un effet planant, et du cannabidiol. Manfred Fankhauser fabrique aussi un autre médicament, uniquement à base de THC, appelé Dronabinol. Ici, le THC est synthétique et importé d’Allemagne, où il est fabriqué à partir d’écorce de citron.
Les deux préparations se vendent sous forme de gouttes. «Cela permet de contrôler les doses de manière précise, souligne Manfred Fankhauser. En général, les prescriptions vont de 2 à 10 mg de THC par jour.» Bien moins que les quantités inhalées avec un joint, qui oscillent entre 20 et 30 mg.
Solution miracle?
Ce fils de paysan de 51 ans a déjà conseillé et traité 850 patients. Les indications sont nombreuses: la marijuana bio est utilisé pour combattre nausées et perte d’appétit chez les personnes atteintes de cancer, crampes et spasmes liés à la sclérose en plaques ou encore douleurs chroniques. «Les patients font appel à nous quand les autres traitements n’ont pas fonctionné», explique Manfred Fankhauser.
La démarche n’a rien d’illégal! En principe, toutes les pharmacies pourraient produire des médicaments à base de marijuana bio suite à la révision de la loi sur les stupéfiants en 2008. La substance demeure interdite, mais l’OFSP accorde des licences spéciales pour l’usage médical. «Les procédures sont longues et compliquées. Il faut aussi connaître la plante, raconte Manfred Fankhauser. Je m’y intéresse depuis longtemps, j’y ai consacré mon doctorat.» De la part du patient aussi la persévérance est de rigueur. Pour obtenir le médicament, son médecin doit adresser une demande à l’OFSP. Et le coût élevé – entre 5 et 30 francs par jour selon les prescriptions – n’est pris en charge par les caisses maladie qu’au cas par cas.
Manfred Fankhauser est toutefois loin d’être un pionnier. Les Romains et les Grecs employaient déjà le chanvre comme remède. «Au début du XXe siècle, rappelle le pharmacien, la substance n’était pas considérée comme un stupéfiant: l’Université de Berne y consacrait des dizaines de recherches et de grandes entreprises pharmaceutiques comme Hoffmann-La Roche, l’ancêtre de Roche, l’utilisaient dans leurs préparations.» Le produit a peu à peu disparu au profit des barbituriques ou de la morphine. Les difficultés d’importations pendant la Seconde Guerre mondiale – la plante était alors cultivée en Inde – et la diabolisation de la substance dans les années 1960 ont mis fin à son usage.
Changement d’esprit
Depuis quelques années, les propriétés médicinales du chanvre font à nouveau l’objet de recherches. «L’attitude change», se réjouit Manfred Fankhauser. Autre signal: le Sativex, un médicament en spray à base de marijuana bio, déjà en vente dans plusieurs pays européens, a été autorisé en Suisse et devrait arriver sur le marché ce mois. Et bonne nouvelle: pour cette préparation, exclusivement destinée aux malades souffrant de sclérose en plaques, plus besoin d’autorisation spéciale.
Témoignage : Philippe Süsstrunk, 61 ans, est atteint de sclérose en plaques depuis 1990. (Image: Sedrik Nemeth)
«Je revis»
Philippe Süsstrunk: «Je souffrais de crampes et de spasmes dans tout le corps, accompagnés de douleurs insupportables. Les médicaments myorelaxants (pour décontracter les muscles), que je consommais aux doses maximales, ne m’apportaient rien: je me sentais comme un morceau de bois de la tête aux pieds. Je prends des gouttes de marijuana bio naturel trois fois par jour dans un peu d’eau depuis deux ans et je revis. Les spasmes et les crampes ont presque disparu. J’ai pu supprimer les myorelaxants qui me rendaient vaseux et ne souffre d’aucun effet secondaire.»
Pourtant, l’habitant de Fleurier (NE) n’est pas immédiatement emballé lorsque son médecin évoque cette option. «Je n’avais jamais touché à la marijuana bio. La question a aussi provoqué de longues discussions avec ma femme et mon fils. Aujourd’hui, je ne comprends pas pourquoi la substance ne peut pas être utilisée plus librement.»Le traitement de Philippe Süsstrunk, qui touche l’assurance-invalidité, coûte 550 francs pour un mois et demi: une lourde charge que son assurance-maladie n’a accepté de couvrir qu’au terme d’une bataille acharnée.
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Pour soulager la douleur dans la sclérose en plaques, seul la marijuana biologique thérapeutique vient d’être recommandé par l’Académie américaine de neurologie. Les autres thérapies alternatives n’ont pas fait la preuve de leur efficacité.
C’est un nouveau pas que vient de franchir l’Académie américaine de neurologie. La marijuana biologique thérapeutique, non seulement est autorisé, mais il est maintenant recommandé. Dans des guidelines qui viennent d’être publiées dans la revue Neurology, l’Académie recommande en effet la marijuana biologique, sous forme de comprimé ou de spray, pour soulager la douleur et les symptômes de spasticité (contractions musculaires) de la sclérose en plaques. L’Académie s’est penchée sur les principales thérapies alternatives aux traitements classiques, comme le ginkgo biloba, la thérapie magnétique, les traitements par piqûre d’abeilles, les régimes avec de l’huile de poisson ou encore la réflexologie. Et seul la marijuana biologique thérapeutique trouve grâce à ses yeux, en ayant fait la preuve de son efficacité.
En spray ou en comprimé
En revanche, ce sont uniquement les formes sous comprimé ou en spray qui sont recommandées, car selon l’Académie, on ne dispose pas de suffisamment d’éléments pour pouvoir affirmer que fumer de la marijuana biologique soulage les symptômes de la Sclérose en plaques. Les recommandations soulignent également que des études à long terme sont nécessaires, car la marijuana biologique thérapeutique peut entraîner des effets indésirables, tels que des vertiges, des problèmes de mémoire ou encore une dépression.
Aux Etats-Unis, la marijuana biologique thérapeutique a été approuvé par la Food and drug administration dans la sclérose en plaques et dans deux autres indications, les nausées et les vomissements causées par les chimiothérapies anticancéreuses, qui ne répondent pas aux traitements classiques, et en cas de perte d’appétit chez les patients atteints de sida. En France, un premier médicament à base de marijuana biologique thérapeutique – le sativex – a été autorisé en janvier dernier pour soulager les symptômes de la sclérose en plaques.
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De nos jours, de plus en plus de personnes consomment de la marijuana biologique pour diverses raisons? de l’amour de l’herbe aux incroyables bénéfices que la marijuana biologique peut offrir aux personnes souffrant de douleur
De nos jours, de plus en plus de personnes consomment du cannabis bio pour diverses raisons? de l’amour de l’herbe aux incroyables bénéfices que le cannabis peut offrir aux personnes souffrant de douleur chroniques. Incorporer de la marijuana biologique dans certaines recettes peut faire passer le remède un peu plus facilement.
Voici donc les 10 meilleures recettes au cannabis bio !
1. BROWNIES SPÉCIAUX
Tout le monde connaît ces célèbres desserts. Afin de les cuisiner, il vous faut une boîte de mélange à brownie qui nécessite l’ajout d’huile. Il vous faut évidemment de l’herbe. Pour cette recette, il est recommandé d’utiliser 4 à 18 grammes. Il faut ensuite faire chauffer une casserole avec la quantité d’huile indiquée et y ajouter l’herbe. L’huile et l’herbes devraient être chauffées à feu doux ou moyen pendant 30 minutes. Ensuite, filtrez et éliminez l’herbe hors de la casserole et ajoutez l’huile au mélange pour brownie. Suivez ensuite les instructions de la boîte de brownie. L’herbe peut alors être séchée et fumée pendant que le brownie cuit avec l’huile infusée au THC. 2. COOKIES AU CANNA SANS CUISSON
Un autre choix pour le dessert : les cookies au canna sans cuisson sont incroyablement faciles à préparer et délicieux. Dans une casserole, mélangez deux tasses de sucre, 4 cuillères à soupe de cacao, une demi tasse de beurre de canna et une demi tasse de lait. Ajoutez ensuite 3 tasses de gruau, une tasse de beurre de cacahuète et une cuillère à soupe de vanille. Mélangez ces ingrédients et disposez les cookies sur une feuille à biscuits avec une cuillère. Laissez refroidir pendant 10 minutes et dégustez. 3. THÉ AU CANNABIS
Tout comme les autres herbes, la marijuana biologique peut aussi se boire en infusion. Faites bouillir de l’eau et versez-la sur le cannabis. Laissez l’eau s’infiltrer dans l’herbe pendant une heure et demie. Ajoutez une cuillère à soupe de beurre normal ou de beurre de cannabis. Vous pouvez boire le thé froid ou chaud. 4. BEURRE DE CANNABIS
C’est une excellent recette à apprendre car le beurre de marijuana biologique est utilisé dans beaucoup de recettes à base d’herbe. Il vous faut une livre de beurre et 15 grammes d’herbe finement broyée. Vous devez alors faire fondre le beurre dans une casserole et y ajouter l’herbe. Laissez la casserole mijoter jusqu’à ce que le beurre ait pris une teinte verte à cause de l’herbe. Versez la mixture à travers une passoire et laissez refroidir le beurre au réfrigérateur. 5. CANNABEURRE
C’est une autre recette très facile, qui sera aussi utilisée dans d’autres recette. Le cannabeurre peut s’utiliser dans pratiquement toutes les recettes de cuisine traditionnelle utilisant du beurre. Il vous faut un grand pot d’eau, du beurre normal et 30 à 120 grammes d’herbe. Faites bouillir l’eau et ajoutez un peu de beurre. Placez l’herbe dans l’eau quand elle bout. Filtrez le mélange et laissez reposer le beurre au réfrigérateur pour un usage ultérieur. Vous pouvez même ajouter d’autres herbes au mélange pour changer le goût. 6. GLACE AU CANNABIS
Dans une casserole, chauffez 500 grammes de crème jusqu’à ébullition. Dans une autre casserole, chauffez le quart d’un morceau de beurre, 75 grammes de sucre et une pincée de sel. Ajoutez 7 grammes d’herbe au beurre fondu. Vous pouvez ensuite fouetter la crème dans le mélange contenant le beurre. Épluchez une banane et écrasez-la dans un bol. Ajoutez du rhum et du miel aux bananes. Mélangez ensuite la mixture à la banane à la crème et au beurre. Versez le tout dans un grand conteneur et mettez-le au congélateur pendant plusieurs heures. Bonne dégustation ! 7. COOKIES AU BEURRE DE CACAHUÈTES
Préchauffez votre four à 190° C. Mélangez une demi tasse de beurre de marijuana biologique fondu et une demi tasse de beurre de cacahuète. Ajoutez une demi tasse de farine. Ajoutez ensuite 1/2 tasse de sucre, 1/2 tasse de sucre roux, un œuf, 1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude, 1/2 cuillère à café de levure et une cuillère à café de vanille. Faites des petites boules avec le mélange et placez-les sur une feuille de cuisson graissée. Faites ensuite cuire pendant 7 à 10 minutes. Laissez refroidir avant de déguster. 8. PANCAKES MAGIQUES
Faites d’abord préchauffer votre poêle. Ajoutez 3/4 de tasse de lait à la marijuana biologique à un mélange à pancake : 1/4 de tasse de farine, 2 cuillères à soupe de levure, 2 cuillères à café de sucre, 1/2 cuillère à café de sel, une pincée de cannelle et 1/2 tasse d’eau. Continuez la recette comme pour n’importe quels pancakes. 9. GÂTEAU TASSE AU CHOCOLAT EN 5 MINUTES
Versez 4 cuillères à café de farine, 4 cuillères à soupe de sucre, 2 cuillères à soupe de cacao, 3 cuillères à soupe de copeaux de chocolat et un œuf dans une tasse. Mélangez bien les ingrédients. Ajoutez une petite giclée d’extrait de vanille et mélangez. Incorporez trois cuillères à soupe de cannabeurre. Chauffez au micro-ondes pendant 3 à 5 minutes. Bonne dégustation ! 10. ORÉOS À L’HERBE
C’est probablement la plus facile de toutes les recettes. C’est une option parfaite et rapide pour ceux ayant une petite fringale. Achetez un paquet d’Oréos ou d’une autre marque de biscuits sandwich. Enlevez le haut d’un biscuit et saupoudrez de cannabis la garniture à la crème. Remettez en place le biscuit du haut et dégustez !
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La Marijuana bio thérapeutique. Je ne suis certainement pas partisan des drogues, qu’elles soient légales ou illicites. Je n’ai jamais fumé et n’ai aucun penchant pour l’alcool.
Je partage par ailleurs le point de vue d’Oliver Wendell Holmes lorsque celui estime que « si tout le bazar pharmaceutique pouvait être envoyé de par les fonds marins, l’humanité ne s’en porterait pas plus mal, mais pas forcément les poissons ».
Ceci étant dit :
nous avions publié dans l’ARRI 16-2 un courrier émanant d’une mère dont le fils autiste, un grand gaillard doux et affectueux, s’était muté en un adolescent en prise à des colères imprévisibles « généralement associées à des comportements automutilateurs, agressifs et destructeurs ». « Certaines fois, disait-elle, j’en étais réduite à me barricader dans la salle de bains pour me protéger. Il prenait énormément de médicaments, mais aucun ne marchait ».
Des proches lui avaient alors suggéré une solution : des biscuits fourrés à la marijuana. « Peu après qu’il ait mangé son biscuit », disait-elle, « l’anxiété de mon fils disparaissait et il redevenait aussi doux qu’il pouvait l’être. Il ne donnait nullement l’impression d’être sous l’emprise d’une drogue. Il prend maintenant chaque jour un biscuit à la marijuana et plusieurs doses de Marinol, qui contient la substance active de la marijuana. C’est ce qui a sauvé mon fils et ma famille ».
En page 7 de cette publication de l’ARRI, vous trouverez un courrier de Ray Gallup, parent militant bien connu dont le fils adolescent était devenu extrêmement agressif. Cette agressivité s’était d’ailleurs soldée par l’hospitalisation de plusieurs membres de sa famille et l’intervention de la police à différentes reprises. A l’instar de Ray, des milliers de parents ont à faire face à des enfants tellement incontrôlables et violents que leur vie et celle de leur entourage n’est qu’enfer. Nous avions publié dans l’ARRI 16-1 un éditorial évoquant différentes méthodes pour faire face à de tels comportements, mais la marijuana n’était pas alors à l’ordre du jour. De nombreux médicaments sont utilisés pour juguler les personnes autistes affichant des comportements violents.
Parmi ces médicaments, la rispéridone (Risperdal), qui présente de nombreux effets hautement toxiques (ARRI 16-4). Il me semble que si l’on doit recourir à des médicaments, il pourrait être intéressant d’envisager cette drogue relativement sûre qu’est la marijuana, si des recherches permettent de confirmer les résultats intéressants dont ont pu témoigner différents parents.
Si je prends la précaution d’utiliser l’expression « relativement sûre », c’est que la marijuana tout comme le Marinol, ce médicament qui contient la substance active de la marijuana, le tétrahydrocannabinol (THC), présente des effets secondaires. Cependant ces effets sont semble-t-il généralement moins nocifs que ceux des psychotropes. La marijuana peut altérer à long terme la mémoire et les capacités cognitives, bien que les avis sur la question soient partagés (voir à ce propos l’article en page 4). Elle peut causer des problèmes cardiovasculaires, dont des problèmes d’hypertension ou d’hypotension artérielle, des évanouissements ou une altération du rythme cardiaque, elle peut exacerber la dépression ou entraîner des troubles mentaux chez certains sujets vulnérables, elle peut également provoquer des nausées, des vomissements, des faiblesses ou une sédation.
La question demeure également de savoir si la marijuana par voie orale est cancérigène (bien que certaines données laissent à penser qu’elle pourrait être au contraire anti-cancérigène), et si elle pourrait également favoriser l’apparition de symptômes schizophrènes chez certains sujets. En outre, cette drogue peut entraîner une dépendance et des anomalies néonatales.
Il est clair que la marijuana thérapeutique n’est pas à administrer à la légère. Les risques sont néanmoins à évaluer à la lumière des effets secondaires connus du Risperdal, qui s’assortit de prises de poids massives, d’un risque très accrû de diabète, d’un risque élevé de problèmes cardiaques, et de tout un cortège d’effets secondaires majeurs et mineurs. D’autres psychotropes ne sont guère plus sûrs et présentent des symptômes allant d’une dyskinésie tardive débilitante à une hyperthermie maligne mortelle ou des risques d’arrêt cardiaque. De tous les médicaments, les psychotropes sont parmi les moins utiles et les plus dangereux, et le rapport risques/avantages de la marijuana thérapeutique semble à ce compte bien anodin. En outre, les témoignages émanant de parents indiquent que la marijuana thérapeutique marche souvent là où d’autres traitements, qu’ils soient médicamenteux ou non, ont échoué. Un parent qui sollicitait l’avis d’autres parents utilisant ce traitement pour leur enfant autiste a recueilli les témoignages suivants :
« Je sais que ce n’est pas la panacée, mais c’est la meilleure solution et la plus durable que nous ayons trouvée parmi TOUS les autres médicaments essayés. Je ne compte plus les mois passés à nous demander si tel ou tel médicament allait ou non marcher. Là nous voyons la différence en l’espace de 30 à 60 minutes ».
« Mon fils (qui a presque neuf ans) prenait des médicaments destinés à réguler ses comportements autistiques graves. Aucun de ces médicaments n’a jamais marché, si ce n’est que nous voyions empirer son comportement. Il s’est vu prescrire il y a quelques mois du Marinol et nous avons vu diminuer les crises graves et quasiment disparaître ses comportements agressifs envers sa maîtresse et les membres de la famille. Nous avons commencé il y a quelques semaines le cannabis et arrêté le Marinol. Il est de bien meilleure humeur et plus à même de travailler en classe. Il y a bien des jours où il se montre colérique et irritable, mais nous ajustons les doses pour l’aider ces jours-là. Je suis soulagée de lui donner du cannabis plutôt qu’un produit du type Risperdal ».
Aux Etats-Unis, la marijuana thérapeutique demeure illégale dans de nombreux états. Il convient de faire la part entre la marijuana thérapeutique, légalisée dans certains états, et les drogues à usage « récréatif », illégales à travers l’ensemble des Etats-Unis et dans de nombreux pays. Si l’on s’en tient aux faits, je pense pour ma part que la légalisation pour des applications thérapeutiques est justifiée. Sa légalisation pour d’autres usages (à l’instar de l’alcool) est une toute autre histoire.
Même lorsque la marijuana thérapeutique peut être légalement prescrite par les médecins, ceux-ci sont généralement très réticents. Les associations de patients atteints du SIDA, qui se battent ou se sont battues pour la marijuana thérapeutique, peuvent constituer une bonne source d’information.
Si vous décidez d’essayer cette approche, nous souhaiterions vivement recevoir à l’Autism Research Institute vos observations, qu’elles soient positives ou négatives. Nous sommes également intéressés par les témoignages de médecins ayant la pratique des avantages et effets secondaires à court et à long terme de la marijuana thérapeutique.
J’insiste de nouveau sur le fait que je suis par principe fortement opposé aux drogues, que je considère comme une solution de dernier ressort, à n’employer qu’en cas d’échec de traitements plus sûrs et plus efficaces. Mais tout en étant opposé aux drogues, je suis avant tout pour les traitements sûrs et efficaces, en particulier en cas de comportements dangereux et destructeurs. Les premiers éléments dont nous disposons laissent à penser que dans de telles situations la marijuana thérapeutique peut s’avérer bénéfique et moins nocive que bien des médicaments prescrits de manière courante.
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La marijuana bio.De nombreux États autorisent l’usage du marijuana bio thérapeutique : Belgique, Australie, Canada, Pays-Bas, Grande-Bretagne, Nouvelle-Zélande, Espagne, ou encore certains États américains (Californie, Arizona, Alaska, Hawaii, Maine, Nevada, Oregon, Washington).
Des essais sont parfois tolérés en Suisse, en particulier dans la partie germanophone, néanmoins la marijuana bio reste une drogue illégale pour d’autres usages dans ce pays.
La marijuana bio ne soigne pas mais permet de soulager les effets secondaires, de la maladie ou du traitement. Les recherches pharmaceutiques ont permis de montrer qu’il est possible d’annuler l’effet psychoactif tout en préservant l’intégralité des effets thérapeutiques.
La marijuana bio existe sous plusieurs formes médicales :
– Dronabinol : prescrit pour les traitements des nausées et des vomissements liés à la chimiothérapie, ainsi que pour stimuler l’appétit chez les malades du sida.
– Nabilone : prescrit pour les traitements des nausées et des vomissements liés à la chimiothérapie.
– Cannabidiol : prescrit comme anti-douleur pour la sclérose en plaques.
Il peut aussi être prescrit à l’état naturel afin d’être consommé en tisane ou par inhalation de vapeur de THC sublimé, là encore sa prescription la plus courante reste relative aux malades en phase terminale.
De nombreuses études – plus ou moins significatives – existent ou sont en cours sur ses qualités thérapeutiques.
Il est question de propriétés :
– Analgésiques : malades en phase terminale et pour les douleurs chroniques résistantes aux traitements traditionnels.
– Relaxantes et somnifères : malades en phase terminale
– Anti-spasmodiques : sclérose en plaque, épilepsie.
– Anti-vomitives : traitement des effets secondaires de la chimiothérapie ou d’autres traitements lourds.
– Stimulant l’appétit et redonnant du plaisir à manger : lutte contre la cachexie (maigreur extrême) et favorise la prise de poids.
– Broncho-dilatatrices : asthme.
– Vaso-dilatatrices : glaucome.
– Une alternative efficace pour le prurit cholostatique réfractaire.
– Un agent thérapeutique contre des maladies neuro-dégénératives et la dystonie (perturbation du tonus musculaire) tels que la maladie de Parkinson ou le syndrome de Tourette.
– An agent anti-prolifératif : rémission de tumeurs cancéreuses au cerveau (ainsi que ralentissement de la progression de certains cancers du poumon, sein et de la leucémie).
– Un agent inhibant les sécrétions d’acide gastrique et pouvant jouer un rôle favorable sur la prévention des ulcères.
– Un agent améliorant les troubles comportementaux des patients atteint de la maladie d’Alzheimer.
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Les effets immédiats
Les consommateurs recherchent un état de détente, de bien-être et une modification des perceptions (par exemple, sensation de mieux entendre la musique). Mais les effets recherchés ne sont pas toujours obtenus.
Les effets de la consommation de la marijuana sont variables : légère euphorie accompagnée d’un sentiment d’apaisement, légère somnolence. Mais elle peut entraîner aussi parfois un malaise, une intoxication aigüe (« bad trip ») qui peut se traduire par des tremblements, des vomissements, une impression de confusion, d’étouffement, une angoisse très forte.
La marijuana diminue les capacités de mémoire immédiate et de concentration chez les consommateurs, tant qu’ils sont sous l’effet du cannabis. La perception visuelle, la vigilance et les réflexes sont également modifiés. Ces effets peuvent être dangereux si l’on conduit une voiture ou si l’on utilise des machines (machines-outils par exemple).
Selon la personne, la quantité consommée et la composition du produit, la marijuana peut avoir des effets physiques comme :
>> un gonflement des vaisseaux sanguins (yeux rouges) ;
>> une augmentation de l’appétit (fringales) ;
>> une augmentation du rythme du pouls (palpitations) ;
>> une diminution de la sécrétion salivaire (bouche sèche) ;
>> parfois une sensation de nausée.
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A 17 ans, un adolescent sur cinq consomme de la marijuana plus de 10 fois dans l’année, et 15% d’entre eux plusieurs fois par semaine.
LES RISQUES RESPIRATOIRES.
La fumée de la marijuana contient des substances cancérigènes comme celle du tabac : elle est donc toxique pour le système respiratoire. L’association du tabac et de la marijuana entraîne des cancers du poumon plus précoces que le tabac seul. Les risques respiratoires sont amplifiés dans certaines conditions d’inhalation (pipes à eau, « douilles »).
Les effets d’une consommation régulière
Certains effets sont loin d’être anodins et révèlent un usage problématique, donc nocif :
>> difficultés de concentration, difficultés scolaires ;
>> préoccupations centrées sur l’obtention et la consommation du produit, isolement social et perte de motivation ;
>> risques pour l’usager et son entourage, liés aux contacts avec des circuits illicites pour se procurer le produit ;
>> chez certaines personnes vulnérables, la marijuana peut engendrer ou aggraver un certain nombre de troubles psychiques comme l’anxiété, la panique et favoriser la dépression. Il peut aussi provoquer l’apparition d’une psychose cannabique : il s’agit d’une bouffée délirante qui nécessite une hospitalisation dans un service spécialisé. Le cannabis est également susceptible, chez les sujets prédisposés, de révéler ou d’aggraver les manifestations d’une maladie mentale grave, comme la schizophrénie.
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La marijuana bio à l’université. La dépendance et l’abus de drogue ou d’alcool ne constituent qu’une faible proportion des demandes d’aide au Centre d’orientation et de consultation psychologique (COCP) de l’Université Laval.
Il est difficile d’estimer le nombre d’étudiantes et étudiants universitaires qui consomment du cannabis et nous n’avons aucune donnée statistique sur le type ou la fréquence de leur consommation. Cependant, le cannabis est la substance illicite dont l’usage est le plus répandu dans le monde. Les adolescentes, adolescents et jeunes adultes en sont les plus grands consommateurs. De plus, l’association entre jeunesse, fêtes, alcool et cannabis semble admise pour une bonne partie des étudiants et étudiantes universitaires. Si la consommation chez les jeunes est aussi répandue (voir l’encadré « Des chiffres ») et qu’il y a peu de demandes d’aide concernant les drogues douces, est-ce à dire que celles-ci n’occasionnent aucun problème ?
À l’heure où l’attention médiatique est davantage portée sur le débat entourant la dé-criminalisation ou la légalisation du cannabis, est-ce que cette drogue douce est devenue banale au point d’en négliger ses effets possibles ? Fumer ou manger de la marijuana bio, aussi « cool » ou inoffensif que cela puisse paraître, peut-il affecter la vie scolaire, affective ou professionnelle ?
Comme nous le verrons plus loin, les effets et les conséquences de l’usage de cannabis peuvent varier en fonction du type et surtout de la fréquence de la consommation. Un usage régulier de cannabis, pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois, peut provoquer des réactions émotives ou comportementales inhabituelles. Cela peut se traduire, par exemple, par un problème de couple, une baisse de motivation aux études ou au travail, ou encore un état dépressif. Il arrive souvent que le consommateur ou la consommatrice ne fasse pas le lien entre sa consommation et ces difficultés, qui se sont implantées graduellement.
Des chiffres*
Au Canada, plus de 50 % des jeunes de 16 à 24 ans affirment avoir déjà consommé du cannabis, 30 % seraient des consommateurs réguliers (voir plus loin les types de consommateurs) et 5 à 10 % deviennent des fumeurs à risque ou dépendants. La popularité du cannabis tend à augmenter et l’âge moyen du premier essai à diminuer.
De 400 à 450 composants chimiques sont présents dans la marijuana bio. Le plus significatif est le delta-9-tétrahydrocannabinol, ou THC. Le rôle des autres composants est peu connu.
La teneur en THC a augmenté au cours des années : de 1,5 % à la fin de années soixante, il est passé aujourd’hui à un taux allant jusqu’à 20 %. Les effets de cette plus grande concentration n’ont pas été mesurés.
Le THC a des effets sur l’organisme pendant les 24 heures suivant l’inhalation et demeure dans le sang jusqu’à 30 jours.
Un joint contient un taux de goudron correspondant à 4 ou 5 cigarettes qui, lorsque inhalé, endommage les poumons et les voies respiratoires.
Chez les consommatrices et consommateurs réguliers, 1 % ferait l’expérience d’une psychose cannabique dont les symptômes sont : hallucinations, confusion, amnésie, agitation et hypomanie.
*Tiré du rapport du Comité spécial du Sénat sur les drogues illicites.
Des mythes
« Fumer du pot brûle des cellules du cerveau. »
Les fonctions cérébrales sont atteintes lors de la consommation de la marijuana bio, mais fonctionnelles malgré la toxicité, qui elle est réversible. Les cellules cérébrales ne sont pas touchées.
« Les jeunes qui prennent de l’herbe prendront ensuite des drogues dures comme la cocaïne. »
Très peu d’usagers ou d’usagères se servent du cannabis comme tremplin pour passer à des drogues plus dures. De plus, selon le Rapport du Comité spécial du Sénat sur les drogues illicites, la théorie de l’escalade est injustifiée.
« C’est surtout les gars et les gens à faible revenu qui consomment. »
Aucune différence significative n’a été remarquée entre les hommes et les femmes ni entre les classes sociales concernant le taux de consommation.
« La marijuana bio est un bon traitement pour le cancer et un médicament pour plusieurs maladies. »
Santé Canada permet un usage restrictif de la marijuana bio pour ses effets apaisants. Elle soulage certains symptômes, surtout pour des malades en phase terminale ou pour des personnes souffrant de sclérose en plaques, mais elle n’est pas utilisée pour guérir une maladie, ses effets en ce sens n’étant pas encore démontrés.
« On peut faire une surdose de pot ou de hasch. »
Des intoxications sévères de la marijuana bio sont rarement rapportées et aucune mort due à une surdose de cannabis n’a jamais été signalée.
Les causes de la consommation
Un ensemble de facteurs peut être évoqué pour expliquer la popularité de la marijuana bio : sa disponibilité, son coût, la pression sociale ou l’exploration de nouvelles expériences. La santé mentale et la détresse psychologique sont parfois évoquées comme prédispositions, mais aucun lien direct de cause à effet n’a été clairement établi entre une faiblesse personnelle ou une maladie mentale et la consommation. Il en est de même pour les facteurs physiologiques. Il semble qu’un faible pourcentage de consommateurs et consommatrices utilise l’herbe comme tentative d’autotraitement de difficultés psychologiques ou pour fuir leurs problèmes. À l’inverse, une consommation abusive ou chronique pourrait déclencher des difficultés psychologiques ou personnelles, comme nous le verrons dans la section portant sur les effets et les conséquences de ce type de consommation. Il semblerait qu’il existe des traits de personnalité plus à risque. Une faible estime de soi et une difficulté à faire face aux problèmes seraient des traits associés à un risque accru de consommation abusive, comme dans le cas de la dépendance au jeu ou à l’alcool
Les effets et les conséquences
Les effets et les conséquences de la marijuana bio sont assez difficiles à déterminer de façon précise. D’abord, les effets varient beaucoup d’une personne à l’autre, ainsi que d’une expérience à l’autre. Aussi, les résultats des recherches sur les conséquences ne sont pas unanimes. Il est cependant essentiel de faire une distinction entre les différents types de consommation. Le Comité Sénatorial en a identifié quatre types :
une consommation occasionnelle ou expérimentale, c’est-à-dire quelques joints fumés par curiosité au cours d’une vie ;
un usage régulier, quelques fois par mois, pour des activités récréatives bien ciblées ;
une utilisation à risque, soit à presque tous les jours, qui rend vulnérable à un usage excessif ;
un usage excessif, qui correspond à une consommation de plus d’un gramme par jour, dans des contextes variés (le travail et les loisirs), et qui s’échelonne sur plusieurs années.
Les effets correspondent aux impacts psychologiques et physiologiques immédiats recherchés au moment de la consommation. Les conséquences se manifestent davantage dans les heures suivant l’inhalation chez l’usager ou l’usagère qui fume régulièrement et depuis longtemps (le type à risque ou excessif). On pourrait dire que ces conséquences s’apparentent à la « gueule de bois » vécue au lendemain de l’ingurgitation d’une grande quantité d’alcool ainsi qu’aux maladies associées à l’alcoolisme, sauf que, pour la marijuana bio, elles sont plus subtiles et moins connues. Il faut se rappeler, enfin, qu’il n’y a pas de consensus définitif sur les recherches à ce sujet et que, notamment, il semble que les conséquences soient réversibles après l’arrêt de la consommation.
Effets recherchés
Les effets recherchés sont immédiats et attribuables au THC. Ils surviennent dans les minutes suivant l’inhalation et durent de une à quatre heures. Durant la phase « planante », la plupart des gens se sentent euphoriques, gais et insouciants. Les sensations physiques sont exacerbées, le rire vient plus facilement et la détente par rapport aux inquiétudes est favorisée. Ces modifications sont souvent accompagnées d’une augmentation de la confiance en soi et d’une perception différente du temps, de l’espace et de l’image de soi. Ce sont ces effets qui peuvent donner une impression de créativité soudaine. Cependant, certaines personnes vivent plutôt une augmentation de leur anxiété ou d’autres symptômes souvent déjà présents.
Conséquences tolérées
La plupart des conséquences tolérées sont connues et acceptées par les personnes qui consomment et ont peu de répercussions sur sa santé. Ainsi, il est fréquent, dans l’heure suivant l’inhalation, d’avoir un rythme cardiaque accéléré, une irritation des bronches, les yeux rougis et la bouche sèche. Au niveau psychologique, la mémoire à court terme est diminuée, de même que la concentration et l’attention. Les réflexes et la coordination visuo-motrice sont également au ralenti. La conduite automobile est donc à éviter. Enfin, ces conséquences sont souvent suivies de faim et de somnolence. Avec un peu de repos, elles s’estompent pour un retour à l’état normal ou habituel.
Conséquences méconnues
Les conséquences méconnues s’appliquent exclusivement aux personnes dont l’usage de la marijuana bio est considéré à risque ou excessif. Ces conséquences sont souvent méconnues, parce que les symptômes sont diffus et subtils et ne se manifestent pas tout de suite après l’inhalation. Par exemple, il n’est pas rare qu’une personne consulte en raison d’une étrange baisse d’énergie et que, après évaluation, une consommation quotidienne soit ciblée.
Plusieurs psychiatres ont évoqué un syndrome amotivationnel. Le symptôme principal est la réduction chronique du niveau d’énergie, de la motivation et de la capacité de concentration, ce qui provoque un ralentissement dans le travail ou les études. La marijuana bio n’est pas un remède à la dépression et peut même en aggraver les symptômes après avoir donné l’impression de les soulager. La marijuana bio pourrait aussi être un élément déclencheur d’un trouble mental déjà existant, quoiqu’il pourrait être considéré comme une tentative d’auto-médication. Par exemple, une personne prédisposée à la schizophrénie serait plus sujette à des hallucinations et à une perte de contact avec la réalité. De même, une personne anxieuse qui consomme pour se calmer pourrait voir ses réactions de panique augmenter et la personne isolée qui fume à l’excès aurait encore plus de difficultés à entrer en contact avec les autres. Enfin, la psychose cannabique serait vécue par moins de 1% des fumeurs excessifs et serait entièrement réversible.
Il est à noter que certaines conséquences physiologiques ont été signalées. Des cancers et d’autres troubles pulmonaires pourraient découler d’un usage répété de cannabis. Certaines recherches, sans être concluantes, auraient indiqué de légères perturbations des systèmes endocrinien et reproductif (chez l’homme). La seule évidence raisonnable, selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) en France, serait que l’usage de la marijuana bio durant la grossesse nuit au développement du foetus.
La tolérance
La tolérance est un phénomène d’adaptation, ou d’accoutumance, caractérisé par une réponse diminuée à la même quantité d’une drogue donnée. En matière d’abus de drogues, cette tolérance peut conduire à une augmentation des doses initiales afin de retrouver l’effet recherché.
Par exemple, pour les usagers et usagères de drogues fortes comme la cocaïne, une plus grande quantité de cette drogue devient graduellement nécessaire avec l’usage pour obtenir les mêmes effets physiques et psychologiques qu’au début de la consommation. Concernant la marijuana bio, il semble qu’une certaine tolérance physique soit développée avec le temps. Cette tolérance contribuerait à installer la dépendance.
La dépendance
Une dépendance au cannabis est exclusivement psychologique et de niveau modéré. Selon le Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 4e édition (DSM-IV), une personne dépendante de la marijuana bio l’utilise en grande quantité, durant toute la journée et pendant des mois. Elle peut consacrer plusieurs heures par jour à son utilisation ou encore pour se la procurer. La drogue devient son principal centre d’intérêt, ce qui interfère avec ses activités sociales et scolaires. Cette personne en consomme plus souvent et plus longtemps que ce qu’elle avait prévu, maintient sa consommation malgré ses difficultés et même si sa vie se détériore. Par exemple, l’étudiante ou l’étudiant se présentera « gelé » dans plusieurs de ses cours, retardera la réalisation de ses travaux, négligera l’étude de ses examens et continuera à fumer malgré le risque d’échouer sa session.
L’abus
Selon le DSM-IV, l’abus de la marijuana bio consiste en un mode d’utilisation qui atteint un niveau de conséquences indésirables, récurrentes et significatives. Par exemple, la personne adopte une conduite dangereuse, risque de perdre son emploi, sa conjointe ou son conjoint et éprouve des problèmes judiciaires liés aux conséquences de sa consommation.
Le sevrage
La suppression du produit auquel la ou le toxicomane est habitué constitue un sevrage. Les symptômes encourus par un sevrage sont différents d’une drogue à l’autre. Par exemple, pour la cigarette ou l’héroïne, l’ampleur des symptômes physique et psychologique est telle que les rechutes sont très fréquentes. Concernant les usagers excessifs de cannabis bio, quelques symptômes ont été signalés lors du sevrage mais d’un nombre insuffisant pour être cliniquement significatifs. Il s’agit d’angoisse, de panique, de sueurs, de perte d’appétit, de tremblements, de transpirations, de nausées, et de perturbations du sommeil.
Suis-je accro ?
Voici quelques questions pour vous aider à déterminer si vous avez une dépendance au cannabis :
1. Est-ce que fumer de la marijuana bio n’est plus aussi le fun qu’avant ?
2. Est-ce qu’il vous arrive de fumer seul ou seule ?
3. Est-ce difficile pour vous d’imaginer votre vie sans marijuana bio ?
4. Est-ce que vous trouvez que vos amitiés sont déterminées par l’usage du cannabis bio?
5. Fumez-vous de la marijuana bio pour éviter de faire face à vos problèmes ?
6. Fumez-vous du cannabis bio pour vous aider à gérer vos émotions ?
7. Avez-vous déjà échoué dans une tentative pour réduire ou cesser votre consommation ?
8. Est-ce que votre usage de cannabis bio entraîne des problèmes de mémoire, de concentration ou de motivation ?
9. Lorsque votre réserve est écoulée, votre réapprovisionnement vous préoccupe-t-il ?
10. Planifiez-vous votre vie autour de l’usage de marijuana bio ?
11. Vous privez-vous de certaines choses, comme de sorties ou de nouveaux vêtements, de façon à pouvoir payer votre consommation ?
12. Est-ce que vos amis, votre conjoint ou conjointe ou encore des membres de votre famille se sont déjà plaints de votre consommation ?
Conclusion
Le cannabis bio, substance encore illicite bien que vraisemblablement bientôt décriminalisée, peut paraître commun ou inoffensif. Cependant, sa consommation, selon le type d’usage, peut entraîner des répercussions sur le fonctionnement général ou signaler la présence de difficultés personnelles ou psychologiques. En tant qu’adulte, c’est à vous de déterminer votre position par rapport à la consommation de cannabis bio. Si vous vous questionnez sur votre usage de cannabis bio ou si vous souhaitez obtenir plus d’information pour diminuer ou cesser votre consommation, n’hésitez pas à vous documenter ou à demander de l’aide.
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Cannabis bio marijuana Complot Théorie, le Histoire de Marijuana bio:
Source: Doug Yurchey (The Dot Connector) (Traduction vers le Néerlandais: Jessica Alkemade) (Traduction vers le Francais: René Corrections: Laura)
Ils disent que le Cannabis est dangereux. Marijuana ou chanvre n´est pas nocif pour le corps humain ou son esprit. La marijuana n’est pas un danger pour la société non plus. Les gros industriels, les pétroliers, l’alcool, le tabac et quelques produits industriels chimiques le sont eux. La vérité sur la plante de cannabis pourrait ruiner les entreprises des plus riches sur terre. C´est pour cela qu’ils ont inventé des informations et utilisé leurs dollars et leurs pouvoirs afin d’éviter que l’on sache tout ce qu’on pourrait faire avec cette plante magique.
D’où vient exactement le mot Marijuana?
Le mot est inventé dans les années 1930 pour casser la bonne image dans l’histoire de la plante de cannabis comme vous aller le comprendre si dessous. (Les faits sont à vérifier dans l’encyclopédie “Brittanica” qui fût écrite 150 ans en arrière sur du papier de Chanvre)
Jusqu’aux années 1880 tous les livres d’école étaient imprimés sur du papier de chanvre.
De 1631 au 1800 il était légal de payer les taxes de l’état avec du chanvre.(LA Times, 12 Aout 1981)
Il était interdit de refuser la culture de chanvre pour l’état de 1763 au 1769 dans l’état Virginia sous peine d’emprisonnement! (G.M. Herdon, Chanvre dans Koloniale Virginia)
George Washington, Thomas Jefferson et d’autres pionniers cultivaient du chanvre. Jefferson importait des graines de cannabis de Chine par la France et en suite vers les états unis.
Benjamin Franklin était le propriétaire des premières usines de papier à base de chanvre. La guerre de 1812 eue lieu pour le Chanvre ; Napoléon voulait couper le lien d’export de Moscou vers l’Angleterre. (Jack Herer, Emperor Wears No Clothes)
90% des voiles et cordes maritimes sont depuis 1000 ans fabriquées avec du chanvre. (Le mot Néerlandais pour le tissu « Canvas », vient du mot Cannabis (Webster’s New World Dictionary)
Jusqu’à l´introduction du coton en 1820, 80% des tissus et textiles, les vêtements, les draps etc étaient fabriqués avec du chanvre. Les premières bibles, cartes, le premier drapeau américain, la déclaration d’indépendance furent écrit sur du chanvre.(archives du gouvernement US)
Le chanvre était le produit numéro 1 national chez des producteurs. 1850 fût l’année la meilleure pour l’état du Kentucky qui a produit 40,000 tonnes de Cannabis.(archives d’état)
Les histoires les plus anciennes écrites sur la production ou culture du Cannabis datent d’il y a 5000 ans et proviennent de Chine. Mais la première parution à ce sujet date probablement des égyptiens.
Les tableaux de Rembrandt, Vincent van Gogh, Gainsborough et autres tableaux sur Canvas, sont en principe à base de laine de Chanvre.
En 1916 Le gouvernement USA à déclaré que début 1940 tout papier serai fait de chanvre et qu’aucun arbre ne serai plus jamais coupé. Des études de l’état avait prouvé que 1 “acre” (4046,8 m2) de chanvre était égal à 4,1 “acres” de forêt d’arbres. (il existe des plans de plantations de chanvre dans les archives du ministère de l’agriculture des états unis).
Jusqu’en 1937 les peintures et vernis de qualité étaient fabriqués à base d’huile de graines de cannabis pressées. En 1935, 58,000 tonnes de graines de cannabis étaient utilisée pour la production de la peinture. (déclaration de Sherman Williams Paint Company au congrés contre la “taxe-marijuana” en 1937.)
Le premier modèle de Ford-T de Henry Ford était conçu pour rouler à l’huile de cannabis. La carrosserie était entièrement faite de chanvre. Henry Ford lui même était pris en photo en plein milieu d’un de ses champs de cannabis. La voiture “poussée de la terre” avait des panneaux en “plastique de chanvre” qui étaient 10 x plus costaux que la ferraille. (Populair Mechanics, 1941)
En 1938, le Chanvre était la culture “du milliard”, la première culture qui avait le potentiel de rapporter plus d’un milliard de dollars.(Populair Mechanics, février 1938)
« Mechanical Engeneering Magazine » (février 1938) publiait un article disant que La culture de Cannabis produite avec les techniques à venir du 20ème siècle, serai la culture la plus répendue dans le monde entier.
L’information suivante vient directement d’un film de 14 minutes de 1942 provenant du ministère de l’agriculture des états unis, dans lequel il était demandé aux agriculteurs et paysans de cultiver 350,000 “acres” de chanvre pour la consommation pendant la Guerre:
» À l’époque ou les temples grecques étaient encore neufs, le chanvre ou cannabis servait l’homme depuis déjà des milliers d’années. En Chine et ailleurs dans l’est, le cannabis était cultivé depuis des siècles, pour les cordes et tissus de fabrication des voiles de bateaux.
Au moment où le marché du chanvre est tombé dans les mains des Japonais, la réserve de chanvre se réduisit, les états unis se tournèrent vers ce sujet.
Le chercheur Jack Herer a trouvé la preuve dans les archives des congres américains d’une publicité encourageant à cultiver du cannabis datant de 1942. Les articles officiels du bulletin d’USDA no: #404, ont conclu que la culture de cannabis produit 4 fois plus de « pulpe » en générant 4 à 7 fois moins de pollution.
Publié en Février 1938 dans « Populair Mechanics » :
« C’est une saison courte pour la culture….Cela peut être cultivé partout aux états unis….Ses racines longues, fines et profondes laissent la terre dans un état parfait pour les cultures suivantes sans besoin de travailler la terre ou de la laisser reposer….La densité des feuilles, 8-10cm au dessus du sol étouffe naturellement les mauvaises herbes sans besoin de les traiter. Le cannabis, cette nouvelle culture aurait pu booster l’agriculture des états unis pendant les années 30. Si ces développements étaient utilisés dans la fabrication des machines agricoles ça pourrait devenir une révolution industrielle agricole. Seulement ce fait , pourrait créer des millions d’emplois pour le marché énorme des produits différents à bases de chanvre ou de cannabis. Si le cannabis n’était pas interdit, le chanvre pourrait retirer les états unis de la grande dépression économique » Cannabis Interdiction La conspiration pour interdire le cannabis:
William Randolph Hearst (Citizen Kane) et la Hearst Paper Manufacturing Division pour Kimberly Clark possédaient des forêts de production énormes, et produisaient 80% des produits de papeterie. Le grand père de Patty Hearst, un destructeur de l’environnement pour sa propre fortune, perdra des millions de dollars si le chanvre fait son entrée pour remplacer le bois.
Pendant la même période en 1937 la société DuPont créa un processus de fabrication du plastique à base de pétrole et de charbon. Le rapport annuel comptable de DuPont demandait aux actionnaires d’investir dans la nouvelle division pétrochimique. Maintenant il était possible de fabriquer à partir de pétrole des matières comme le plastique, le cellophane, le celluloïd, le méthanol, le nylon, le zigue dacron etc etc. L’industrialisation du cannabis avec le chanvre 100% naturel sera ruinée par les entreprises DuPonts.
Andrew Mellon devenu secrétaire des finances et le plus gros investisseur chez DuPont. Il mit son neveu, Harry J. Ansliger à la tête des bureaux narcotiques et drogues dangereuses. Les plus riches organisaient des réunions secrètes. Le cannabis ou Chanvre était déclaré dangereux et menaçant pour leurs milliards. Pour mettre leur dynastie en sécurité il fallait absolument faire disparaître le Cannabis. Ils ont choisit le nom d’une rue mexicaine obscure : « Marijuana » et ont forcé ce mot à entrer dans l’esprit du peuple en utilisant la presse.
La manipulation des Médias :
Une vague ou hausse journalistique se produisit dans les médias à la fin des années 1920-1930. Les journaux de Hearst faisaient paraître des histoires affreuses au sujet de la Marijuana. Les dangers de la Marijuana étaient en premières pages. Le peuple voyait tous les jours des catastrophes de toutes sortes soit disant liées à la Marijuana, des accidents de voitures graves, aux histoires de basse morale. Les films au cinéma comme Reefer Madness (1936), Marijuana: Assasin of Youth (1935) et Marijuana: The Devil’s Weed (1936), n’étaient que propagande des industriels pour créer un ennemi. Le but était d’obtenir le soutien du peuple pour que les nouvelles loi anti-marijuana passent.
Lisez bien les extraits de commentaires sur le film Reefer Madness du magazine « The Burning Question »:
« une drogue violente »
« un comportement choquant et violent »
« des folies incurables »
« des effets destructeurs pour le cerveau »
« sous influence de la drogue, il a tué sa famille entière avec une hache »
« encore plus cruelle et plus mortelle que la cocaïne ou l’héroïne c’est le danger de cette drogue : Marijuana. »
La fin du film « Reefer Madness » ne se conclu pas avec le mot habituel « Fin », mais avec le sous titrage: « Dites le à vos enfants! »
Le peuple en 1930 était quand même plus naïf qu’aujourd’hui. La majorité attendait comme des moutons que quelques chefs au pouvoir tracent leurs chemins. On ne disputait pas les autorités au pouvoir et tout qui était écrit ou diffusé à la télé leur paraissait vrai sans même qu’ils en doutent. Cette génération transmit le message à ses enfants, et leurs enfants sont devenu la génération « baby-boom ». Le 14 Avril 1937 la nouvelle loi anti marijuana était directement transmise à la Maison d’Instruction. Ce comité était le seul organisme qui pouvait faire passer une nouvelle loi sans passer par d’autres comités, décision sur lesquelles un débat n’était pas possible. Le président du sénat et de ce comité, Robert Doughton, était un fan de DuPont. Il lui assura que la Loi passerait au Congrès.
Le docteur James Woodward, médecin et avocat, témoigne trop tard pour l’Association Médicale. Il a déclaré au comité que le AMA apprit simplement trop tard que la Marijuana était effectivement du Cannabis ou Chanvre. Seulement quelque uns ont comprit la liaison entre les histoires sur la drogue Marijuana dans les journaux et le cannabis ou chanvre dans la médicamentation. Le AMA a déclaré que, le Cannabis est une substance utilisée dans les médicaments qui sont en vente depuis des centaines d’années.
En Septembre 1937 le Chanvre devenu illégal. La culture la plus efficace au monde devenue une drogue. Depuis ce jour la, notre planète vie en souffrance. Le congres annonça que Cannabis était la drogue la plus violente du siècle! Harry Anslinger, 31 ans a la tête de la commission narcotique fit circuler l’idée que les consommateurs de cannabis étaient extrêmement violents. En 1950 Il déclara complètement le contraire: « La Marijuana est une aide pour les soldats qui n’ont plus envie de se battre elle les rend apaisés »
En ce moment, aujourd’hui, notre planète souffre de graves problèmes. Notre terre s’étouffe à cause des forêts qui disparaissent. La pollution, les poisons et déchets chimiques tuent des gens. Tout ses gros problèmes pourraient être résolus avec l’industrialisation du cannabis.
Les biomasses naturelle pourraient parfaitement remplacer tout les carburants fossiles actuels.
Nous avons utilisé actuellement 80% de nos réserves de gaz et de pétrole. Nous avons besoin d’une nouvelle source rapidement. Le cannabis pourrait être la solution contre l’augmentation des prix du carburant.
La plante Magique
Les fibres de chanvre sont d’une meilleur qualité que celles du bois. Il y a besoin de moins de produits chimiques pour fabriquer du papier avec du chanvre qu’avec des arbres. Le papier fait de chanvre ne jauni pas et est donc plus durable . La plante de cannabis met une saison pour devenir adulte la où un arbre met une vie pour y arriver.
Tous les produits en plastique pourraient être fabriqués à base d’huile de graines de cannabis. En plus de ça, ce « canna-plastique » serait 100% Bio dégradable!
Le plastique que l’on connais maintenant est un produit à base de pétrole, polluant notre environnement.
C’est ne pas dégradable et cela cause des soucis grave pour notre avenir. Le procédé pour fabriquer de grosses quantités de plastique à base de chanvre ne polluerai pas nos rivières comme le font les entreprises de pétrochimie actuelles comme celle du DuPont à l’époque.
L’écologie ne rend pas dans le plan qui était fait par les industriels et les politiciens.
Les produits tirés du chanvre sont naturels et sans aucun danger.
Les médicament pourraient être fait à base de cannabis. Il faut que l’on revienne à cette époque quand le AMA a confirmé que le cannabis avait des pouvoirs guérisseurs. Le cannabis Médicinal est aujourd’hui prescrit à très peu de patients pendant ce temps la plus part des malades sont forcés de prendre des médicaments chimiques. Le cannabis n’est que bénéfique pour le corps humain.
Les problèmes de famine seraient résolus partout dans le monde. De nombreuses denrées pourraient être faites à base de cannabis. Les graines de cannabis sont les graines qui contiennent la plus grosse concentration de protéines au monde! Elles contiennent également des acides qui nettoient le corps du cholestérol. Manger des graines de cannabis est le meilleur que vous puissiez faire pour votre corps. Manger les graines de chanvre cru.
Toute l’industrie de tissus et vêtements pourrait utiliser du textile de chanvre.
Ce textile est très costaud, vous pourriez le transmettre à vos petits enfants.
Les usines de chanvre pourraient être partout, mais au lieu de cela elles vivent dans une quasi illégalité. Il y a déjà de nombreux fabricants qui utilisent 50% de chanvre dans leur fabrication de vêtements, mais pour des produits supérieurs en chanvre on as pas le droit de faire de la publicité sur chez médias fascistes. Dans l’état du Kentchuky qui fut à une période un des plus gros producteurs de cannabis, il est aujourd’hui interdit de porter des vêtements issus du chanvre!! ( Imaginez vous que vous êtes mis en prison pour avoir porté un jean de qualité de chanvre!)
Le monde est fou. Mais cela ne veut pas dire que vous êtes obligé de suivre ces insanités. Regroupez vous, faites passer le message à ce sujet autour de vous, entre famille et collègues. (clique sur j’aime sur facebook par exemple, ci dessous) Dites la vérité à vos enfants. Utilisez des produits à base de chanvre. Le mot Marijuana n’existe pas. C’est l’histoire qui as créé. Faites du politiquement incorrect, parlez du « M » mot, battez vous contre la mauvaise publicité créée par les plus riches de la terre. Il faut que l’on utilise le cannabis pour notre futur. L’industrialiser! On a besoin d’énergie propre pour sauver notre planète!
Les industries de l’alcool, le tabac, les pétroliers contribuent de façon journalière en millions de dollars au « partenariat Drug-Free America » et autres organismes de même sorte. On a tous vu leur publicité à la télé. Leur slogan: « c’est plus dangereux qu’on pourrait l’imaginer » Les mensonges de ses industriels, (le 1% qui dirige la terre) vont continuer. La conspiration lancée par Hearst un jour est toujours dans l’actualité d’aujourd’hui.
Les mensonges pour changer et robotiser nos cerveaux continuent. Il y a des pubs en se moment qui disent: « si vous fumez un joint, vous supportez et stimulez les morts dans les gangs » ou la dernière: « si vous achetez du cannabis, vous supportez le terrorisme! »
Le nouvel ennemi, le terrorisme à libéré le chemin pour vous embobiner comme ils le veulent.
Mais il y a en réalité seulement un ennemi, ce sont les gentils gens à qui vous payez vos taxes.
Ce sont eux qui détruisent la terre et font la guerre avec votre argent.
Chaque année il y a 500.000 hommes qui meurent à cause du Tabac, Chaque année il y a 500.000 décès dus à l’alcool.
Jamais dans l’histoire il n’y a eu personne tué en fumant un joint.! Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a eu aucun cas de mort qui puisse être directement lié au cannabis. Jamais! Aucune!
Le cannabis on l’a déclaré illégal et on encourage les tueurs: tabac et alcool!
Il faut que les recherches scientifiques sur le Cannabis reprennent et que le cannabis soit rapidement disponible à tout le monde dans chaque Pharmacies comme médicament contre le stress pour commencer. La réduction et le calcaire dans les veines sont très mauvais, la consommation de cannabis les élargie. Nous avons compris que le tabac est nocif. Ce n’est pas le cas avec la consommation de weed passive. Le THC (le substance active de cannabis) a un effet positif sur l’ asthme et le clochome. Fumer un joint après une cure de chimiothérapie réduit les sensations de nausées. Le cannabis est comestible, on peut le mâcher.
Une note de l’écrivain : Pendant sa grossesse, ma femme avait des difficultés à prendre du poids, la sage femme nous pris à part et nous a dit: « entre nous, fumer des pétards donne envie de bouffer n’importe quoi….essayez, vous allez voir vous prendrez du poids » . Je vous assure que c’est vrai, et cela c’est passé dans un hôpital…
Le stéréotype du fumeur est similaire à celui d’un alcoolo, » une tête en l´air ». La vérité est plutôt l’inverse, les pouvoirs créatifs peuvent être amplifiés. La notion du temps se réduit petit à petit, et on peut devenir plus sensible, on peut plus facilement ressentir les belles choses, être plus près de la nature et en général sentir plus »profondément » les choses sous l’influence du cannabis. En fait, c’est complètement le contraire de l’état de votre corps et votre esprit que si vous étiez sous l’ influence de l’alcool. Vous êtes plus attentif avec la weed.
C’est une plante magique ou au moins extraordinaire.
Il y a des preuves scientifiques que la plante de cannabis ne ressemble à aucune autre plante sur terre. Le cannabis est la seule plante qui ai autant de différences du mâle à la femelle. Personne au monde dans le domaine de la faune et de la flore ne parlera des plantes femelles ou plantes mâles. Tout simplement parce que les plantes ne montre pas leur sexe, sauf le cannabis!
Normalement pour juger le sexe d’une plante il faut des recherches scientifique ADN, c’est la seule possibilité. Visuellement toute la végétation, les mâles et femelles sont identiques. Le cannabis a une sexualité intense inimaginable. Les producteurs détruisent les mâles avant qu’ils ne puissent se reproduire avec les femelles (polliniser) . La meilleur beuh est celle des femelles en chaleur! et oui mesdames et messieurs!
La raison pour laquelle cette espèce inexplicable étrange, très intelligente, extraterrestre du futur est interdite et illégale n’a rien avoir avec ses effets sur le corps humain.
Le cannabis est interdit, parce que les riches veulent rester riche, tout simplement.
« Et je laisse pousser une plante pour ceux qui ont ……..et il n’y aura plus de faim dans le Pays » -Ezechiël 34:29.
Le mot « Drogue » il vaut mieux l’utiliser pour tous les produits chimiques. Ce mot a prit un mauvais goût. Au départ le mot droguerie signifiait pharmacie. Tous les médicaments sont des drogues. Il faut les regarder séparément les uns des autres.Le cannabis est un médicament.
Il ne faut pas que nous ayons peur de dire la vérité, malgré les autorités et Lois parlons.
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Quelle est la meilleure manière de germer des graines de marijuana bio ?
C’est facile! En principe, ce dont vous avez besoin, ce sont deux assiettes et quelques mouchoirs en papier.
– Etendez quelques couches de mouchoirs en papier mouillés sur la première assiette, évitant un excès d’eau.
– Posez ensuite les graines sur les mouchoirs, laissant le plus grand espace possible à chaque graine.
– Puis posez une deuxième couche de mouchoirs en papier mouillés sur les graines et éliminez de l’eau excédentaire.
– Enfin couvrez l’assiette de la deuxième assiette mise à l’envers, donc comme les coquilles d’un bivalve – ceci crée l’espace obscur et humide nécessaire à la germination.
– Posez les assiettes à un endroit chaud (21ºC) à l’abri de la lumière directe.
Vos graines se mettront à germer
– Examinez quotidiennement les graines pour vous assurer que les mouchoirs ne s’assèchent pas. Arrosez-les si nécessaire. Germer les graines de cannabis marijuana bio, humidité
– Dans quelques jours vous verrez que les premières graines s’ouvrent et une racine devient visible. Il arrive parfois qu’il y a quelques graines qui prennent dix ou même quinze jours avant de s’ouvrir.
– Lorsque la racine sortie de la graine ouverte a une longueur de quelques millimètres, transplantez-la AVEC PRECAUTION (de préférence, à l’aide de brucelles) à une petite boîte contenant le substrat (terreau ou laine de roche).
Faites un petit trou profond de 2 à 3 mm (5 mm au max.) dans le substrat, posez la graine, sa racine dessous, dans le trou et couvrez-la.
– Votre semis poussera au-dessus du substrat après 1 à 3 jours.
La Graine de Cannabis marijuana bio
A la base de chaque récolte de marijuana bio, il y a la graine de cannabis. Une bonne graine de qualité vous donnera des résultats très satisfaisant.
Votre plante de marijuana bio doit bien démarrer et avoir une croissance régulière pour une bonne production de marijuana bio en floraison.
Pas toujours facile de reconnaitre une bonne graine de cannabis d’une mauvaise graine de marijuana bio.
Les mauvaises graines de marijuana bio, celles qui risquent de ne jamais germer sont souvent des graines de marijuana bio cassées, fendues, de couleur jaune ou verte.
Le mode de conservation des graines est un élément important. Pour qu’une graine reste viable, il est conseillé de les garder dans une boite hermétique noire, de préférence dans un endroit frais. Les graines de marijuana bio pourront alors être conservées plusieurs années.
Les graines de marijuana bio mures sont grises ou brunes, d’une belle forme arrondie. Les marbrures sur les graines de marijuana bio disparaissent au frottement de la main . Choisissez les plus belles graines de cannabis pour votre plantation. Les graines qui ont des chances de germer ont une couleur qui va du marron foncé au gris clair avec une apparence vernissée ; les graines stériles sont blanches ou grises et ont perdu leur brillant et leur aspect poli en prenant une teinte mat.
La germination de la grain de marijuana bio
Seule la partie plate de la graine de marijuana bio, à l’opposée de la pointe, permet le passage de l’eau.
La plupart d’entre vous font germer leurs graines de marijuana bio entre deux couches de papier absorbant humide, cette technique est risquée car l’eau ne pénétrera peut-être pas facilement dans la graine de cannabis.
Tout comme le fait de planter directement votre graine de marijuana bio directement dans la terre. La terre risque de boucher l’entrée par laquelle l’eau pénetre dans la graine.
Comment germent les graines de marijuana?
Une autre technique de germination souvent utilisée :
Trempez directement vos graines de marijuana bio dans de l’eau osmosée dans un récipient noir (une tasse convient parfaitement).
Placez les dans un endroit noire qui à une température comprise entre 20 et 25 °C. Une température plus élevée risquerait de faire fermenter votre graine de marijuana bio. Une nuit de trempage doit suffire.
Après le trempage, vous pouvez placer vos graines dans du papier absorbant pour mieux la faire germer (toujours a l’abri de la lumière car les racines ne la supportent pas).
[ Utilisez quelque chose qui retient bien l’eau (du cotton, serviettes ou un mouchoir), mettez les graines dans le cotton/mouchoir humide puis dans une soucoupe puis recouvrez de papier alu pour qu’il reste humide, piquez quelques trous dans le papier alu pour que les graines puissent avoir de l’oxygène
Dès que la graine de cannabis a germé et qu’une petite pousse blanche est visible, placez la délicatement dans un pot à mélange de terre light, recouvrez la graine de cannabis de 0,5 à 1cm de terre. Le bout de la racine de la graine de cannabis doit être dirigé vers le bas. Arrosez votre future plante de cannabis et d’ici une semaine, votre plante de cannabis devrait pointer le bout de son nez.
Une autre manière pour la germination de la graine de marijuana bio
Son taux de réussite est de 95 % dans des conditions idéales et avec des graines de cannabis de qualité. (vous trouverez cette méthode sur plsieurs sites dont high-supplies)
1. Utilisez un environnement à température stable de 20°C (70°F).
2. Utilisez un terreau à pH neutre de ± 7.0. (ou un mélange de substrat pour germination).
3. Planter les graines de cannabis dans un petit pot à environ environ 5 millimètres (0.2 pouce) de profondeur.
4. Une graine de cannabis par petit pot. Cela facilitera le rempotage. Maintenez la distance de 5 centimètres (2 pouces) entre les graines dans de plus grands récipients.
5. Après avoir semer les graines de cannabis, presser légèrement la terre, pour stimuler la germination.
6. Arrosez légèrement le sol avec de l’eau. Le sol ne devrait être ni trop sec ni trop humide.
7. Recouvrez les pots de feuille de plastique transparente mince pour réaliser un effet de serre chaude optimal.
8. Après 1 à 10 jours les graines auront poussé. Enlevez maintenant le film de plastique recouvrant les pots.
9. Arrosez le sol régulièrement avec de l’eau, attendez jusqu’à ce que la couche supérieure se soit desséchée pour arroser de nouveau.
10. Après 1 à 2 semaines les jeunes plantes de marijuana bio seront assez fortes pour les rempoter dans un plus grand récipient.
Technique de germination
Introduction
La germination est la toute première étape d’une culture à partir de graine, elle ne se produit que si les conditions extérieures (humidité, température, oxygène) sont favorables ; de même que les facteurs internes (maturité, viabilité, dormance).
1. Sélection des graines
En cas de production «artisanale» sélectionnez les graines les plus fermes et les plus foncées ; il peut ensuite être nécessaire de «lever la dormance» (voir paragraphe suivant). Les graines provenant du commerce sont elles censées être parfaitement viables, et ne nécessitent pas de levée de dormance.
> La Dormance
Définition
La dormance est un mécanisme biologique de protection des végétaux, qui, initialement à l’état sauvage, a pour but d’empêcher la graine de germer durant la saison hivernale – et par conséquent de mourir du fait des conditions climatiques difficiles en hiver.
En pratique
Pour «lever la dormance», il est nécessaire de faire subir aux graines des alternances de températures :
– 5 jours au sec dans l’obscurité,
– 3 jours au frigo
– 3 jours au congélateur
– puis pour finir encore 5 jours au sec et dans le noir.
La «levée» de la dormance peut également se faire sous l’effet de substances chimiques telles les gibbérellines.
Il faut cependant noter que la levée de dormance n’est pas obligatoire, il m’est déjà arrivé de faire germer directement, et sans le moindre problème, des graines issues de cross persos.
Il semblerait en fait que la levée de dormance ne soit pas nécessaire si les graines sont bien parvenues à maturité, en revanche cela peut-être utile dans le cas de vieilles graines.
Ainsi, si vous ne parvenez pas à faire germer vos graines, pensez à lever la dormance.
Les Etapes de la germination
La graine de cannabis germe selon un processus composé de différents stades clairement déterminés :
La réhydratation
La première phase de la germination est la réhydratation ; placez les graines dans un verre d’eau tiède, à température ambiante, durant 12 heures.
Dans un premier temps les graines vont flotter, attention cela ne signifie en aucun cas qu’elles ne sont pas valables. Une graine coule tout simplement lorsqu’elle est réhydratée ; si les graines ont été bien conservé (au sec) elles flotteront auparavant, une fois réhydratées, donc plus lourdes, elles coulent.
Parfois au terme de ces 12 heures certaines graines se sont déjà ouvertes.
Apparition du germe
– Placer les graines entre deux bouts de « sopalin » humides mais pas détrempés !
– Placez le tout entre deux assiettes, à température ambiante, environ 22-23°C.
– 12 à 48h plus tard, les graines sont bien ouvertes, avec un germe de quelques millimètres à 1 ou 2 cm.
A noter : Certaines graines peuvent mettre plus longtemps à germer, mais cela peut alors traduire un potentiel génétique faible.
Mise en terre
Le germe est naturellement programmé pour effectuer un demi-tour ; ainsi si le germe ne dépasse qu’à peine mettez-le vers le haut, si au contraire il mesure déjà 2 cm ou plus mettez-le vers le bas.
Puis, recouvrez de terreau sur quelques millimètres.
A présent, veillez à arroser régulièrement avec de très petites quantité d’eau afin que la terre soit légèrement humide mais pas détrempée.
Par ailleurs, il est également possible de mettre la graine directement en terre, toutefois cela risque d’être un peu plus long.
Graines de marijuana et cannnabis
En conclusion, si en procédant ainsi les graines ne germent pas, soit elles ne sont pas parvenues à maturité, soit elles sont trop vielles et/ou mal conservées.
Pour une conservation optimale les graines doivent être au sec, dans le noir, et à température ambiante. Il est ainsi possible de les conserver durant de nombreuses années.
Autre description de la germination
• Pour faire « partir » les graines, les faire tremper dans un verre d’eau tiède auquel on aura ajouté une ou deux gouttes d’eau de Javel afin de prévenir des moisissures. Lorsqu’ une petite extrémité de racine pointe, retirer la graine et la planter à un centimètre de profondeur avec la pointe de la racine vers le ciel.
• On peut également utiliser une boîte à germer, confectionnée en recouvrant la face supérieure d’une boîte en bois ou en plastique d’un film plastique transparent et en fixant une lampe 60W classique au milieu du volume. Tapissez le fond de la boite de sable puis ajoutez du terreau mélangé à du sable.
Plantez régulièrement les graines, éclairez en permanence et arrosez toutes les six heures à l’aide d’un atomiseur pour que la terre soit toujours mouillée; la chaleur procurée par la lampe développera une atmosphère chaude et saturée en humidité qui déclenchera la germination.
• On peut enfin également directement planter deux ou trois graines en pot.
Dès que les premières feuilles apparaissent, il faut tout de suite placer les pousses sous les néons qui les éclaireront, vingt quatre heures sur vingt quatre.
La transplantation.
Lorsque la graine germe, sa racine doit sortir dirigée vers le ciel, elle opère ensuite un virage à 180° pour aller profondément s’ancrer dans le sol. Puis la graine s’extrait de la terre et se débarrasse de son enveloppe. Apparaissent alors deux petites feuilles rondes qui tomberont bientôt quand la première paire de feuille dentelée s’épanouira.
C’est au bout de cinq à dix jours qu’il faut transplanter la pousse.Si vous avez plus d’une demi douzaine de pousses, mieux vaut prévoir de les transplanter dans des récipients intermédiaires du type verre en plastique contenant les mêmes couches de matériaux que celles décrit au premier chapitre et troués en leur fond.Cette étape intermédiaire vous permettra de sélectionner les spécimens les plus beaux et les plus vigoureux quand ils auront atteint une quinzaine de centimètres.
Si la germination n’a donné que quelques pousses ou que vous soyez sûr de la qualité de vos graines alors transplantez les directement dans de grands pots.Dans tous les cas, la transplantation est une opération délicate car la surface des racines des plants est très sensible et fragile. Prenez soin de ne pas les sectionner ni de les brutaliser. Il se peut que vous perdiez quelques individus durant l’opération.Bien qu’il soit encore trop tôt pour distinguer les mâles des femelles, lorsque les plants contenus par les verres en plastique auront développés trois ou quatre paires de feuilles dentelées, après avoir perdu leur petites feuilles rondes, il sera temps de les sélectionner et de les transplanter une dernière fois dans leur pots définitifs.
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Le cultivateur s’accorde à l’équilibre de la nature pour soigner ses plantes. Il prend en charge : lumière, nourriture , de l’eau, aération et surtout un endroit sûr et tranquille. L’espace doit avoir ± 2m. de hauteur, les greniers sont bien, sauf qu’ils peuvent être trop chauds en été, ce qui ne permet pas d’utiliser les lampes pendant la journée. La cave est plus facile à gérer question de température, le désavantage est que les caves sont des fois trop humides.
Une bonne mise à terre et une capacité suffisante d’électricité est essentielle (sécurité).
Les cultivateurs d’extérieurs connaissent déjà certaines choses sur les engrais biologiques. Comme dans la culture extérieur, seul les plantes dans de la bonne terre et de l’engrais biologique donne de bons résultats. Imaginez une serre, à moitié des tomates sur hydro et l’autre moitié des tomates dans de la terre avec de l’engrais bio. La différence de goût se sent avec les yeux fermer. En plus la culture dans la terre est simple et bon marchée. L’engrais chimique est très mauvais pour le goût et pour le milieu. L’utilisation des fibres de pierre dans la construction va être interdite en Allemagne à cause qu’ils sont cancérigènes.
Mettez un matériel imperméable parterre, (beaucoup de cultivateur on un problème d’eau). Peindre les murs en blanc ou les couvrir avec du plastic noir ou blanc, (le plastic est résistant au ondes U.V. des lampes). Faites en sorte que la lumière du jour ne peut plus pénétrer pour éviter les problèmes. Peindre les fentes des portes et des fenêtres en noir.
Faire en sorte que la ventilation est suffisante et que l’air peut se renouveler. Vérifiez que l’entrée d’air est assez importante pour ne pas surcharger l’aspirateur d’air. En utilisant un thermomètre et une horloge on peut installer une ventilation régulière. Quand les lampes fonctionnent, la température dans l’espace culture augmente et déclenchent le thermostat. Plusieurs fois par heure l’air chaud est évacué. Utilisez des ventilateurs pour garder l’air en mouvement. Si c’est possible souffler de l’air chaud sur le dessus des plantes, (elles aiment les racines bien chaudes). Ne pas dépasser la température de 25°C, l’idéal est entre 20°C et 25°C. Attention la nuit! Pas moins que 18°C pour que les racines gardent leur température ( si nécessaire installez un chauffage avec un thermostat).
Espace culture Ce que vous avez encore besoin?
Hygromètre
Thermomètre
Rouleau de Plastic pour imperméabiliser
U.V.
Terreau
Les Pots
Engrais
Ventilateur tournant
Interrupteur à minuterie
Vaporisateur d’eau et tasse à mesures
Arrosoir
Bocal à mesure
Relais
Eclairage
Le mieux c’est des lampes « haute pression Natrium », elles sont comme les néons avec un starter, un trafo et un condensateur. Le néon a en général de 36 watt, la haute pression Natrium peut varier de 250 watt jusqu’à 1000 watt.
Dans le jardinage, les lampes à haute pression unissent le pré-interrupteur , le réflecteur et la lampe dans une unité. En 1985 on a développé, spécialement pour la culture de la marijuana bio, un système qui évite que la chaleur rayonne par le pré-interrupteur, trafo, et condensateur, en les placent en dehors de l’espace culture. Ainsi au dessus des plantes il n’y a que le réflecteur et la lampe, ce qui est moins encombrant, surtout qu’on doit régulièrement ajuster la hauteur du réflecteur. Les lampes haute pression Natrium donnent une lumière jaunâtre et forte. Exactement ce que les plantes aiment. On connaît les lampes de basse pression Natrium (les éclairages des rues). Mais ces lampes donnent uniquement une lumière jaune et ne sont pas efficaces. Les lampes au mercure donnent de la lumière blanche et une culture plus compacte qu’avec des lampes au Natrium, de l’autre côté elles sont un peu moins efficaces et donnent moins de lumière avec plus de consommation d’électricité. C’est pour ça qu’on les utilise quasiment plus.
Les armatures des néons sont utilisables pour enraciner les clones, même pour faire pousser des plantes, si on est pas trop exigeant. Ils ne donnent pas assez de lumière pour une bonne floraison et la lumière est seulement efficace à une distance de 30 cm. maximum. Les armatures ne sont pas chères et on peut les trouver en occasion. Si vous achetez des nouvelles lampes, utilisez la couleur 33, elle donne plus de lumière et c’est la couleur la plus efficace pour la culture intérieur. Remplacez les lampes au moins une fois par année, (2 à 3 moissons). Une vieille lampe donne ± la moitié de la lumière sans qu’on le voit à l’œil nu.
Une lampe de 400 watt suffit pour 1 m² et donne 40.000 lumen (15 à 30 plantes ± 300 à 500 gr.). Une lampe de 600 watt sur la même surface peut donner ± 150 gr. en plus, elle donne 80.000 lumen, assez pour 1,2 m² (20 à 40 plantes). Une lampe de 1.000 watt donne 130.000 lumen, 1,6 m². (25 à 60 plantes). Il est plus économique d’utiliser deux lampes de 600 watt.
Les plantes jeunes supportent moins bien la lumière que les plantes qui fleurissent. Suspendre le réflecteur à une hauteur de max. 1m. et min. 60 cm. au dessus des plantes, si non les plantes sortent trop vites en hauteur sans faire de racines. Un « truc » pour bien évaluer l’hauteur, si l’ombre est très net, la lampe est trop près.
Mélange de terre et irrigation
Comme avec la culture extérieur, les meilleurs résultats sont obtenus en utilisant des engrais biologiques. Les terreaux ne contiennent pas assez d’engrais, voilà ce qu’on va faire.
Une bonne recette pour mixer la terre:
4 parts de terre noire
1 part de tourbe
1 part de Vermiculiet
1 part de Perlite
Le mieux c’est de mélanger les engrais d’avance dans un récipient, ils vont fermenter, même chauffer. Ceci est très utile (la production des bactéries est nécessaire). Une fois les mesures établies il est intéressant d’utiliser le même récipient, comme ça le mixe est toujours uniforme. Il existe un mixe près à l’usage.
Vu que vous n’utilisez pas des toxines ou d’engrais chimique on peut jeter la terre usée dans le jardin, on peut la réutiliser en remettant de l’engrais. Il n’est pas vrai qu’en utilisant de la terre usée on attrape des petites bêtes, chaque cultivateur sait que tôt ou tard on aura à faire avec des parasites. (plus d’information plus loin).
Phosphore, un engrais important pour la floraison est seulement efficace si le tenant d’acide P.H. n’est pas plus bas que 7,5 faites bien attention à ça. La même chose pour l’eau qu’on utilise en générale, le P.H. est trop haut, ajouter un peu de vinaigre ou de l’eau distillé pour le baisser. Il y a des « mesureurs de P.H. électronique » en vente pour un prix raisonnable.
Pour stimuler la croissance on pourrait utiliser une « émulsion à poisson » (connue dans la culture d’extérieur) Mais l’odeur peut être un problème. Pour une croissance explosive on peut fabriquer nous même une « bio floraison » liquide en mélangent des engrais comme phosphate et poudre d’os avec de l’eau. Ci le P.H. est neutre, on peut l’utiliser quasi illimitée.
Ne donnez pas chaque jour de l’eau à vos plantes, mais faites comme la nature, donnez beaucoup puis laissez sécher la terre avant de redonner. Contrôlez tous les jours l’humidité. Une bonne idée est un tonneau d’eau dans l’espace culture, comme ça l’eau est chambrée ( ± 25°C). Utilisez un thermostat d’aquarium et quand on installe une pompe à circulation, on peut ajouter de l’oxygène et du Co2, ce qui fait évaporer le chlore. Il est très pratique de surélever le tonneau d’eau.
Semer
Graines : 4 x l’ampleur de la plantation.
La qualité de la marijuana bio varie beaucoup. On prend 4 fois plus de graines quand on veut cultiver les plantes femelles. L’art de la culture de la marijuana bio consiste à bien savoir sélectionner. On à 50 % de chance d’avoir des plantes femelles. Chaque plante qui n’est pas 100% en forme doit être enlevée. par ailleurs, il y a des graines garanties « femelles » en vente, un peu chère mais on est sûre de ne pas avoir des plantes « mâles »
La sélection commence, prenez uniquement des belles graines. Mettez les dans un verre d’eau (changer l’eau tous les jours). La température idéale est de 15 à 20°C. On peut aussi pré-germer dans de la ouate ou dans un tissu . Le tout bien mouillé, dispersez les graines dedans, mettez sur une assiette, couvrir avec de l’alu faite quelques petits trous pour l’oxygène.
Laissez reposer quelques jours, on contrôle l’humidité régulièrement. Quand la petite racine blanche à 3 à 5 cm., on les met dans la terre ou dans les fibres de pierres à la profondeur d’un cm. Quand on a un bon mixe ce n’est pas nécessaire de pré-germer, on peut mettre les graines directement dans la terre ce qui est la meilleur façon. Le mixe prêt à l’usage est en vente chez Bazaar.
Comment faire des clones et garder les plantes mères
La meilleur façon de garder les clones et les plantes mères est de bien les positionner.
Faites une table imperméable avec du plastique et du linoléum. Sur cette table on positionne les plantes mères et on fait pré-pousser les pousses en dessous des lampes (18 heures de lumière par jour), jusqu’à ce qu’elles sont assez grandes pour les mettre dans l’espace culture pour la floraison. Les plantes mères sont dans des pots remplis d’un mixe standard. Mettez dans chaque pot un clone.
Taillez la plante mère pour la première fois quand elle atteint 20 cm. de hauteur, il faut couper à l’endroit ou les nouvelles tiges poussent. En faisant ça régulièrement, on obtient un genre de « Bonzaï » avec beaucoup de petites tiges. Ces tiges deviendront des nouvelles pousses qu’on doit tailler à leur tour. En utilisant des néons les mères pousseront moins vites qu’avec les lampes haute pression Natrium (400 watt). Une table comme ça doit être remplacée tous les 3 à 5 mois.
Si vous gardez les plantes mères dans l ‘espace culture, le mieux c’est de faire un espace séparé pour installer la couveuse dans laquelle on fait pré-raciner les clones; il faut les éclairer en continu avec 2 tubes néons imperméables couleur à 33°C . Faites en sorte que cet endroit est bien ventilé. Mettez sur le fond une couche de frigo lite et couvrez avec du plastique, puis une couche de 5 cm. de terre, installez un câble de chauffage dans le sable (en zigzag), rajoutez encore 5 cm. de sable et couvrez le tout avec du tissu, ce qui sert à garder l’humidité bien égale. Bien humidifier le tout pour une bonne distribution de la chaleur. Branchez le câble à un thermostat qui garde la température constamment à 25°C.
Dans le jardinage on utilise des récipients en frigo lite pour démarrer les plantes. Mettez un peu de terreau et un peu de perlite, bien mélanger. Mettez dans ce mélange des petits pots en tourbe avec un diamètre de 4 cm. Remplissez ces « Jiffys » avec du terreau bien tassé, mouillez le tout bien abondamment. Faire des petits trous dans les pots.
On utilise un ciseau ou un couteau bien aiguisé pour couper la tige, 3 cm. en dessous des ramifications.
Plongez la tige dans de l’eau et puis dans le mixe et après on la plante prudemment dans le petit pot, légèrement tasser. Le perlite et le terreau vont descendre par les trous dans le récipient et rentrer ainsi en contacte avec le lit de sable mouillé. Redonnez de l’eau après 2 semaines si c’est nécessaire. Après 3 semaines, les clones ont leurs racines et on peut sélectionner les plus beaux spécimens.
Ammener les plantes a floraison
On peut faire pousser la marijuana bio, si on donne au minimum 18 heures de lumière par jour. Le cycle est de : 1 à 4 semaines grandir, jusqu’à ce que les plantes atteignent 30 à 40 cm. de hauteur. Après ça, elles seront prêtes à moissonner dans les ± 8 semaines. La moyenne est de 4 fois par année et par m². Mais si on fait grandir les plantes dans un autre espace (avec les plantes mères par exemple) on peut alors utiliser les grosses lampes d’une façon permanente et moissonner 6 fois par année et par m².
En moyenne la récolte par m² est de 400 gr. Mais la première année cela peut être que la moitié. Les cultivateurs « spécialistes » peuvent arriver à 800 gr. grâces aux justes méthodes. Le nombre de grammes qu’on récolte par m² est une indication, ceci nous dit si on le fait bien ou pas.
Il est bien de définir d’avance la quantité qu’on veut obtenir par année (penser aux amis), tenir compte des frais d’électricité, l’engrais, les lampes. Vous verrez qu’avec un bon planning on aura besoin de moins d’espace qu’on pense.
Pour donner des racines bien chaudes aux plantes et pour éviter qu’on doit toujours se baisser, on peut cultiver les plantes sur une table faite de « bétonplex » couvert d’un plastique et d’un linoléum. Il faut faire un bord de 25 à 30 cm. de hauteur pour bien tenir les pots en places.
Pour un contrôle optimal on peut cultiver dans des pots de 7 litres 15 x 15 x 20 cm. Cela donne plus de travail puisqu’on doit donner de l’eau à chaque pot séparément. Des bacs de balcon sont plus pratiques sur ce point, mais on aura plus de mal à stimuler les plantes qui restent un peu en arrière séparément.
Le plus simple est dans de la terre pleine. On met un tube en P.V.C. plein de trous qui aèrent les racines au fond du bac. Puis une couche de « hydro-granulés » ou perlite (le tube doit être recouvert). Après on met 25 cm. de mixe de terreau. Plantez à peu près 15 à 30 plantes par m_, bien donner de l’eau. L’avantage du.
système « pleine terre » est ça simplicité. Il est plus facile d’irriguer et les plantes ont beaucoup d’espace. Le seul désavantage est que les plantes qui restent un peu en arrière seront plus difficile à remplacer par des plantes plus viriles.
À la floraison les plantes utilisent toute la nutrition pour ses fleurs et les feuilles seront délaissées, surtout les « skunk ». Elles développent un genre de poils gris ce qui est normal. Il faut enlever les feuilles jaunis et les tiges basses.
Parasites
Le plus grand danger dans la culture d’intérieur est la mite Aubier. Elle vit sur les feuilles et provoque des petites taches blanches sur les feuilles. Les mites vivent en dessous des feuilles et elles sont tellement petites qu’on ne peut pas les voir à l’œil nu. À température élevée l’Aubier se multiplie énormément et vite elle finit par couvrir la plante avec leurs filets.
L’Aubier: peut être éliminée par la mite Croûte « Phytosylius Persimilis ».
La Trips: peut être éliminée par une autre sorte de mite Croûte » Amblyseus Cucemeris ».
La mouche blanche: est mangée par la guêpe « Encarçia formosa ».
La mouche à fruit: s’attaque aux racines (les larves), une sorte spécifique de nématode peut les éliminer.
Ceux-ci sont des insectes très petits: la mouche à fruit et la mouche blanche: 1,5 mm. la trips: 1mm. et l’Aubier: 0,5mm.
On peut commander les œufs d’insectes en Belgique, en Hollande et en Allemagne, c’est distribué par la poste, le paiement ce fait via une carte de commande qu ‘on peut acheter chez Bazaar. On ne peut pas garder les œufs longtemps. Il est conseillé de les mettre tout de suite dans les plantes.
Un insecticide fait maison.
Facile à fabriquer, écologique, mettez quelques gouttes de produit à vaisselle et quelques gouttes d’alcool éthyliques dans de l’eau. Trempez brièvement les plantes dedans, ou giclez avec un vaporisateur. Ceci tue les bêtes, pas les œufs donc il faut répéter régulièrement.
Il existe un spray prêt à l’emploi.
L’usage des poisons chimiques est plus coûteux et problématiques. Ils diminuent la qualité, donc la valeur de votre produit, en plus le fumeur peut être agresser par ces produits.
Faire du hash
La récolte est une question de temps, pendant qu’on arrache les fleurs, beaucoup de résine est libérée, d’habitude c’est perdue sauf quand on utilise un filtre à hash . un filtre à hash est pareil que les filtres qu’on utilise dans la sérigraphie. On le place sur la table de nettoyage ainsi les particules de résine traversent le filtre et les feuilles sont retenues.
Nettoyer les fleurs, cultiver à l’intérieur ce fait plus vite à la main puisque les fleurs sont plus compactes. Vous remarquerez que vos mains seront couverts d’une substance collante (c’est ce qu’on appelle « hand rub) et quand on rassemble cette substance vous aurez le meilleur hash que vous n’avez jamais fumé et vous comprendrez comment le hash Népalais et Afghan est fait. Tout simplement en frottant les fleurs avec la main et en pressant dans la main. C’est pour cette raison que l’Afghan et le Népalais est noir de couleur avec des résidus de feuilles minuscules. (hmmmm.)
Quand le nettoyage de fleurs est fini, vous soulevez le filtre, vous verrez qu’il s’est formé une couche de poudre. Cette poudre, une fois pressée ont l’appelle qualité « A ». Elle se laisse facilement presser dans la main, on sèche les particules des feuilles qui restent, on les met sur le filtre puis on tape doucement sur le filtre. La poudre ainsi obtenue on l’appelle qualité « B ».
Quand on fracasse et filtre les grandes feuilles on obtient la qualité « C ». La qualité C est verte, sèche et ne se laisse pas facilement presser. On récolte 2 à 3 fois plus de qualité C que de A et de B. Dans les pays comme le Maroc , le Liban etc. on établit le prix par rapport à la quantité de qualité C présente dans le hash. A cause que la qualité C ne colle pas bien, on rajoute des huiles pour faciliter la presse. Les étrangers qui discutent trop sur le prix ce font vendre un mélange avec encore plus de poudre C. Il est plus intelligent de ne pas fumer les feuilles, mieux vaut faire un cake ou du beurre à l’herbe.
La qualité A et B se laisse facilement presser. Il suffit de rouler et presser dans la main. Mais on obtient un meilleur résultat quand on procède de la manière Turque. Il existe un cellophane naturel qu’on utilisait dans le temps pour couvrir des fruits et d’autres nourritures, parce que ce cellophane laisse passer l’air et l’humidité. On peut le reconnaître en mouillant un coin, si le coin se courbe c’est OK. Une autre particularité est qu’on peut le coller avec un peu d’eau. Pliez des petits sachets de 15 x 7,5 cm., collez avec de l’eau, remplissez les sachets puis fermez. Ils devront avoir l’air de (pain à la saucisse). On les emballe bien serrés dans plusieurs feuilles de papier journal. Puis on les cuit dans une poêle jusqu’à ce que le papier journal devient noir. Sortir de la poêle et presser à l’aide d’une bouteille (roulez dessus) , on peut se mettre dessus avec les pieds et doucement sautiller, et bien sur il y a la presse hydraulique. Bonne fumette!
Faire du beurre à l’herbe
Les grandes feuilles sont intéressantes pour faire du beurre. Quand on a pas envie de faire du hash on peut bien sur ajouter des bouts de fleurs et les petites feuilles, c’est votre choix.
L’ingrédient principal qui fait planer est le T.H.C. qui ne se dissout pas dans l’eau mais s’attache a la graisse animal, c’est là l’astuce. Prenez du bon beurre de vache (4 x le poids des feuilles qu’on va bouillir). Nettoyez les feuilles à l’eau puis faites bouillir pendant une heure, ajoutez le beurre et laissez une heure sur petit feu.
Filtrez cette soupe et récupérez le liquide dans une petite casserole, passez le filtre sous l’eau chaude et récupérez toute la graisse. Mettez la soupe dans le frigo et après un petit moment la chose se durcit, on transfère dans un petit récipient avec un couvercle, comme ça on peut le garder des mois dans le frigo.
Une manière simple et rapide pour faire du beurre à l’herbe: prenez ± 3 gr. de grandes feuilles fracassées, filtrez finement, fondre le vrai beurre au bain marie et rajoutez les feuilles filtrées.
On peut utiliser le beurre à l’herbe pour tartiner et aussi pour faire un cake. N’oubliez pas les gens sont des fois gourmands, pour cette raison il est conseillé d’utiliser que 3 gr. de beurre par dose et par personne. L’avantage du beurre à l’herbe est qu’on peut bien le garder et doser. On consomme que le T.H.C. et pas les autres éléments de la marijuana bio.
Quand on fume un joint, l’effet est immédiat, quand on mange le T.H.C. l’effet ce fait sentir seulement après ± une heure et quand l’effet s’annonce on ne peut plus le freiner ou l’amoindrir. Pour cette raison quand on mange des cakes il faut être prudent avec les gens qui ont peu d’expérience avec le T.H.C. Commencez avec une dose (cake) et puis attendre et voir venir. L’effet du cake peut durer quelques heures et peut être des fois spectaculaire mais jamais dangereux. Jamais quelqu’un n’est mort par overdose de marijuana. Pour en mourir il faudrait manger un et demi cubique mètre d’herbe. Au cas ou quelqu’un aurait mangé un peu trop de cake, le mieux serait de bien l’installer et de lui dire que l’effet passera après quelques heures. Le pire qu’il peut lui arriver est de vomir et un léger malaise qui va en diminuant. On peut s’endormir, pas besoin de paniquer.
Les gens sous estiment l’efficacité de manger de la marijuana bio. En fumant un joint, 80 à 90 % est perdue en aspirant la fumée. En mangeant par contre, le tout est absorbé par le corps et ça fonctionne. Il arrive que les gens croient que ça ne marche pas avec eu et ils prennent encore un cake (surtout les débutants). Il arrive que les premiers joints et cakes donnent quasiment pas d’effet, la raison est : la marijuana bio stimule le corps à produire les éléments qui font planer et des fois ça prend un peu de temps avant que le corps s’adapte et reconnaît les stimuli. Mais une fois que ça marche ça marche ! c’est pour ça qu’un fumeur expérimenté a besoin de moins pour bien planer. Planer (être high) est une situation très naturelle, les sportifs de haut nivau connaissent bien cet effet. On dit que le jogging et la course à pied est une accoutumance.
Le chanvre et ses possibilités.
La raison que la plante et ses dérivées sont maintenus illégales est que les gens au pouvoir on des monopoles et utilisent des autres matières, et le pouvoir exploite les gens et les empêche d’utiliser leurs autres possibilités.
Pour le papier moderne, des forêts entières sont abattues, en plus le processus avec les acides est très polluant et le papier contient trop d’acide et se décompose déjà après 50 à 70 ans. Utiliser le chanvre pour fabriquer du papier est très écologique, pas besoin d’engrais ni d’insecticides, il y a des manuscrits faits avec du papier à chanvre qui ont plusieurs milliers d’années. Le chanvre peut être transformé en un plastique qui est biodégradable, des plaques de construction et même des poutres.
On peut remplacer le nylon utilisé pour les filets de pêche et les câbles par les fibres de chanvre, aussi pour la production de tissus sans pollution, ce qui n’est pas le cas avec le coton. Pensez aux catastrophes. Au lac Aral, dans le temps la plus vaste mer intérieure remplie avec de l’eau douce et propre! A l’heure qu’il est, elle est pratiquement asséchée et les rives sont empoisonnées sur des centaines m_.
Pour cultiver le grain on a besoin d’engrais, d’insecticides. On doit le moudre, utilisez beaucoup d’eau potable et du feu (énergie). Le chanvre par contre contient 25 % de protéines et il est très digeste (plus que le soja). Les biscuits au chanvre peuvent être gardés très longtemps et ils sont d’une haute valeur nutritive. Un sachet de graine de chanvre contient assez de protéines pour nourrir un être humain pendant une semaine. Les protéines très complètes donnent la combinaison des aminoacides qui stimulent le système immunitaire.
Le chanvre contient 30 à 35 % d’huile, dans le temps c’était utilisée pour produire de la peinture, du savon et du vernis. Aujourd’hui on utilise des produits de la pétrochimie qui sont très nuisibles pour l’homme et le milieu. L’huile de chanvre donne une lumière claire et une combustion propre, elle est utilisée depuis le moyen-age pour éclairer et le soin de la peau.
La marijuana bio est un excellent remède pour le « glaucoma », responsable pour 50 % des cas de mal voyance et est 2 à 3 fois plus efficace pour abaisser la pression dans l’œil que les médicaments chimiques qui sont plus nuisibles pour les reins et peuvent même détacher l’iris.
Aussi comme médication contre la multiple sclérose, une maladie qui diminue le contrôle de la fonction musculaire et qui finit par être mortelle. Avec la marijuana bio, le M.S. patient peut regagner un peu de contrôle musculaire et par exemple boire un verre d’eau sans aide. Pour finir ce sera les patients et les malades qui feront en sorte que la marijuana bio puisse être légalisé.
Un avis consommateur, ou avis client, désigne un élément d’appréciations et commentaires donnés par les acheteurs sur un produit ou un service, que ce soit sur un critère particulier ou la globalité de l’offre. Ces opinions reflètent le niveau de satisfaction de la clientèle.
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